Voicitoutes les rĂ©ponses Il ressemble Ă  la souris et vit dans les champs. Cette question fait partie du jeu populaire CodyCross! Ce jeu a Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, une sociĂ©tĂ© de jeux vidĂ©o trĂšs connue. Puisque vous ĂȘtes dĂ©jĂ  ici, il y a de fortes chances que vous soyez coincĂ© Ă  un niveau spĂ©cifique et que vous cherchiez Souvent confondu avec le rat noir Rattus Rattus, le rat d’égout est un mammifĂšre de l’ordre des rongeurs et de la famille des muridĂ©s prĂ©sent dans tous les continents sauf l’Antarctique. Comme son nom l’indique, il vit principalement dans les Ă©gouts, mais il peut ĂȘtre parfois prĂ©sent dans nos caves et dans nos jardins
 et se nourrit de presque tout ce qu’il trouve sur son passage. Comme la plupart de ses congĂ©nĂšres, le rat est nuisible et donne lieu Ă  de nombreux dĂ©sagrĂ©ments Ă  l’homme qui le considĂšre comme un flĂ©au. DĂ©couvrez dans ce dossier un tour d’horizon complet sur cette espĂšce ! Zoom sur le rat d’égout Surmulot Classification de l’espĂšce RĂšgneAnimalEmbranchementChordĂ©ClasseMammifĂšreOrdreRongeurFamilleMuridĂ©GenreRattusEspĂšceNorgevicusAutres appellations Rat d’égout, rat brun, rat gris, rat surmulot, rat de NorvĂšge bien qu’il soit originaire d’Asie CaractĂ©ristiques physiques du rat d’égout Taille25 Ă  30 cmPoids300 Ă  600 gCouleurLe pelage est gris-brun Les pattes varient du brun clair au roseEspĂšces animales similairesLe rat noir Rattus Rattus Habitat et alimentation du surmulot RĂ©partition gĂ©ographiqueDans tous les continents sauf l’AntarctiqueMilieux de vieRĂ©seau de canalisation, dĂ©charge, cave
.RĂ©gime alimentaireOmnivoreType de nourriture Viandes CĂ©rĂ©ales Fruits Baies DĂ©chets alimentaires Structure sociale de Rattus Norgevicus Vie socialeRongeur social vivant dans un groupe ayant des codes sociauxPĂ©riode d’activitĂ©Tout au long de l’annĂ©eNombre des membres du groupeUne cinquantaine d’individusQualitĂ© de survieLe rat d’égout est trĂšs agile et est dotĂ© d’une bonne ouĂŻe et d’un excellent odorat. Il est Ă©galement bon coureur et bon nageur Avec un corps de 25 Ă  30 cm ainsi qu’un poids variant entre 300 et 600 g, le surmulot est muni d’une queue dont la longueur oscille entre 20 Ă  25 cm. Contrairement au rat noir, il a un corps plus trapu et imposant. Quant Ă  son pelage, il varie du brun au gris. Ce rongeur ne bĂ©nĂ©ficie pas d’une bonne vue, mais il arrive Ă  se dĂ©placer aisĂ©ment grĂące Ă  sa queue et Ă  ses vibrisses moustaches. Ces organes lui permettent d’ailleurs de percevoir tout ce qui bouge autour de lui. D’autre part, le rat surmulot est dotĂ© d’un excellent odorat et d’un remarquable sens de l’ouĂŻe. Son nez lui assiste pour s’orienter dans l’espace tandis que ses oreilles lui permettent de capter n’importe quel type de sons en effet, le rat est capable de dĂ©tecter les ultrasons. La durĂ©e de vie de Rattus Norvevicus est comprise entre 2 et 3 ans. À la fois nocturne et crĂ©pusculaire, ce rongeur est capable de sauter jusqu’à 1 m de hauteur et sa rapiditĂ© lui permet de fuir devant ses prĂ©dateurs. Son rĂ©gime alimentaire est omnivore. Le menu principal du rat d’égout est composĂ© de morceaux de viande, de graines et de fruits. Toutefois, il peut se nourrir d’insectes, de vers et mĂȘme d’ordures. DiffĂ©rence entre le rat noir et le rat d’égout CritĂšres de diffĂ©renciation Rat d’égout Rattus Norvegicus Rat noir Rattus RattusTaillePlus imposant que Rattus Rattus 20 Ă  30 cm de long Corps assez trapuPlus petit que Rattus Norgevicus 15 Ă  20 cm de long Corps assez svelteColoration du pelageGris-brunNoir Ă  noisetteLongueur de la queuePlus courte que le corpsPlus longue que le corpsAspect de la tĂȘte Yeux plus petits Cou moins prononcĂ© Museau biseautĂ© Yeux plus gros Cou nettement marquĂ© Museau pointuSituationDans les parties basses des habitations Ă©gouts, cave
Dans les champs ou les parties hautes des habitations greniers, combles
Comportement Mauvais grimpeur c’est la raison pour laquelle on le trouve rarement en hauteur Mange de tout viandes, ordures, cĂ©rĂ©ales
 Bon grimpeur Un gout prononcĂ© pour les graines et les fruits Reproduction et dĂ©gĂąts causĂ©s par le surmulot Comme nous l’avons notĂ© plus haut, le rat surmulot a une espĂ©rance de vie assez courte. En effet, il vit en gĂ©nĂ©ral moins de 36 mois, mais cela ne l’empĂȘche pas de se reproduire Ă  vive allure ! Au bout de seulement 2 mois, le mĂąle et la femelle acquiĂšrent la maturitĂ© sexuelle. Le couple peut avoir entre 5 et 7 portĂ©es par an, chaque portĂ©e pouvant donner entre 7 et 12 bĂ©bĂ©s. La pĂ©riode de gestation dure 20 jours. Vous l’aurez donc compris, l’accroissement de la population de surmulots peut exploser en rien de temps. Concernant les dĂ©gĂąts qu’il occasionne, le rat d’égout ronge tout sur son passage pour diminuer la longueur de ses incisives. Comme les dents de la souris, celles du rat n’ont pas de racines, ce qui signifie qu’elles s’allongent sans cesse tout au long de sa vie les incisives des rats poussent environ 2,3 mm par semaine. Les produits alimentaires, le mobilier, les tuyaux et mĂȘme les fils Ă©lectriques, tout ce qui peut-ĂȘtre grignoter est dĂ©tĂ©riorĂ©. Et comme il passe la majeure partie de sa vie dans des lieux salubres comme les dĂ©charges et les galeries dans le sous-sol, ce nuisible souille et ravage chaque annĂ©e des milliards d’euros de denrĂ©es alimentaires. Pour finir, le rat gris propage d’innombrables maladies Ă  l’homme pour ne citer que le hanta virus, la leptospirose et la salmonellose. Par quels moyens se dĂ©barrasser des surmulots ? 1 Solution prĂ©ventive Pour commencer, il est important de s’intĂ©resser aux moyens prĂ©ventifs. En effet, mieux vaut prĂ©venir que guĂ©rir. Pour ce faire, voici quelques conseils Ă  suivre Ayez une hygiĂšne impeccable dans votre maison Quelques miettes de nourritures par terre, dans la cuisine ou sous le frigo suffissent pour attirer ces nuisibles. Ainsi, n’hĂ©sitez pas Ă  passer rĂ©guliĂšrement l’ aussi de laisser vos aliments Ă  l’air libre. L’utilisation de contenants en verre ou en mĂ©tal est fortement conseillĂ©e Ă©tant donnĂ© que ceux en verre et en plastique ne rĂ©sisteront pas aux incisives aiguisĂ©es de ces gros rats d’égout sont Ă©galement friands des croquettes pour chiens et chats. Pensez donc Ă  bien les nettoyer avant de vous ailleurs, n’oubliez pas de fermer hermĂ©tiquement vos poubelles. Les vider rĂ©guliĂšrement serait l’ votre sous-sol ressemble Ă  un vĂ©ritable capharnaĂŒm, pensez Ă  l’organiser et Ă  le ranger. Les encombrements peuvent servir d’abri aux rats d’égout. Bloquez les ouvertures La moindre espace permettra Ă  ces rongeurs de s’introduire chez vous. Il est donc indispensable de colmater les ouvertures Bloquez les conduits et les tuyaux avec de la laine de fer ou un grillage fin en acier inoxydableRĂ©parez les fissures et trous au niveau de vos murs et cloisonsContrĂŽlez rĂ©guliĂšrement l’état de vos Ă©gouts Adoptez un chat En effet, les rats, tout comme les souris ont une peur bleue des minous. Vous ferez ainsi d’une pierre deux coups. 2 Solution curative Si votre maison fait dĂ©jĂ  l’objet d’une infestation ou que les rats surmulots pointent toujours le bout de leur nez malgrĂ© vos prĂ©cautions, il vous faudra vous en dĂ©barrasser au plus vite. Ci-dessous les meilleures solutions pour chasser et tuer ces nuisibles. Le piĂ©geage Sur le marchĂ©, vous trouverez de nombreux types de piĂšges piĂšges de type guillotine, gazage explosif, plaques de glu collantes
. Les rĂ©pulsifs naturels Les rats ont une aversion pour l’odeur De l’huile essentielle d’eucalyptus Ă  verser sur du coton ou un morceau de tissu que vous placerez dans les endroits feuilles de laurier Ă  Ă©craser et Ă  placer dans les zones de passage des la menthe poivrĂ©e Ă  planter dans son jardin Les appareils Ă  ultrasons TrĂšs efficaces, ces dispositifs permettent de chasser les rats d’égouts. Optez pour un modĂšle dotĂ© d’un modulateur de frĂ©quence pour Ă©viter le phĂ©nomĂšne d’accoutumance. Les raticides Ils sont gĂ©nĂ©ralement disponibles sous la forme de pĂąte empoisonnĂ©e qui, une fois ingĂ©rĂ©e, entraine une paralysie respiratoire, un arrĂȘt cardiaque ou une hĂ©morragie interne. En suivant ces conseils, vous devriez vous dĂ©barrasser de ces rongeurs avec succĂšs. NĂ©anmoins, si l’invasion perdure, le recours aux services d’une entreprise de dĂ©ratisation est incontournable pour Ă©viter les problĂšmes sanitaires. LaSouris (uniquement dans la BD) : il apparaĂźt dans quelques Ă©pisodes de la sĂ©rie animĂ©e, il vit dans la forĂȘt, et aide parfois Les Schtroumpfs. Romulus (uniquement dans le dessin animĂ©) : Faucon de Pirlouit, il est vĂ©gĂ©tarien, mais quand son maĂźtre est en danger il est prĂȘt Ă  l'aider. Cric-Cric (Uniquement dans le dessin animĂ©): souris malade trouvĂ©e par la Schtroumpfette
Comment se dĂ©barrasser des mulots ? Les mulots constituent une menace pour les maisons, mais surtout les potagers et les jardins oĂč ils trouvent de la nourriture et se plaisent Ă  Ă©lire domicile. Pour ne pas ruiner toute une rĂ©colte, il est donc essentiel de les Ă©liminer. Il existe plusieurs solutions efficaces pour s'en dĂ©barrasser du rĂ©pulsif aux animaux prĂ©dateurs, proches de celles utilisĂ©es contre les souris et les rats. Il ne reste plus qu’à choisir ! Les mĂ©thodes rĂ©pulsives Les mĂ©thodes pour chasser les mulots sans les tuer sont basĂ©es sur la sensibilitĂ© olfactive et auditive de ces animaux. Simples Ă  mettre en place, elles n’en sont pas moins efficaces. Les plantes telles que le ricin, l’ail ou le sureau ont un effet rĂ©pulsif chez le mulot. PlantĂ©es autour du potager, elles pourront protĂ©ger celui-ci. DĂ©poser au fond des galeries creusĂ©es par les rongeurs des boules de naphtaline ou des gousses d’ail cela les fera fuir. On peut aussi chasser les mulots grĂące au son un fond de bouteille en plastique muni d’un bĂąton placĂ© au fond d'une galerie fera tinter le bĂąton avec le vent et donc fuir les animaux. Parmi les prĂ©parations que l’on peut faire soi-mĂȘme, il existe le purin de sureau et le tourteau de ricin. Ce dernier correspond Ă  ce qu’il reste aprĂšs la fabrication d’huile de ricin. L’odeur de cette poudre disponible en jardinerie incommode fortement les mulots et peut mĂȘme les tuer. En effet, il ne faut pas oublier que ce produit est trĂšs toxique, mĂȘme pour l’homme, qui doit le manipuler avec prĂ©caution, en se protĂ©geant avec des gants. Un morceau de pomme enrobĂ© de cette poudre et placĂ© dans les galeries permet de se dĂ©barrasser de ces ravageurs de cultures. Pour en savoir plus sur les traitements rĂ©pulsifs, consulter notre page "MĂ©thodes pour Ă©loigner les rongeurs sans les tuer". Les appareils Ă  ultrasons Il existe des appareils qui Ă©mettent des sons audibles uniquement par les mulots ces ultrasons les indisposent et les font fuir. Bien choisir les modĂšles de ces appareils est essentiel. À noter penser Ă  porter des gants pour ne pas laisser son odeur en amorçant le piĂšge. Les piĂšges On trouve aussi dans le commerce des piĂšges pour capturer les mulots vivants. Il s’agit de trappes dans lesquelles on glisse un appĂąt pomme, graine
 pour attirer le mulot et l'enfermer. Il faudra ensuite veiller Ă  relĂącher l’animal loin de l’habitation. D’autres piĂšges visent Ă  Ă©radiquer les mulots tapettes, piĂšges mĂ©talliques Ă  pinces, plaques engluĂ©es, piĂšges Ă  cartouche Ă  plomb munis d’un dĂ©tonateur. Tout sur les diffĂ©rents types de piĂšges pour rongeurs dans la page "Tous les piĂšges et les rĂ©pulsifs contre les rongeurs". Les produits anti-rongeurs Les raticides sont souvent des anticoagulants qui provoquent chez le mulot une hĂ©morragie fatale. Quelques conseils pour utiliser ces produits vendus dans le commerce ils se prĂ©sentent sous forme de bloc, de pĂąte ou de grains qu’il faudra ensuite mĂ©langer Ă  un appĂąt ; ils sont Ă  privilĂ©gier dans les cas d’invasion de mulots dans la maison. À l’extĂ©rieur, ils doivent ĂȘtre dĂ©posĂ©s Ă  l’entrĂ©e des galeries ; toxiques, ils sont Ă  manipuler avec vigilance. Les animaux prĂ©dateurs Le mulot est la proie de choix de plusieurs types de prĂ©dateurs les rapaces notamment la chouette hulotte, les chats. Il est donc possible, pour une approche plus naturelle, d’installer dans son jardin un nichoir Ă  chouette hulotte. La prĂ©sence de ce volatile peut dissuader les mulots de venir Ă©lire domicile dans le jardin ou la maison. Si l’invasion devient trop massive, il devient nĂ©cessaire de se renseigner sur d’autres solutions pour lutter contre la prĂ©sence de ces rongeurs, voire de faire appel Ă  une entreprise de dĂ©ratisation.
Lesadultes se mettent en route dÚs la fin de juillet ; la majeure partie des départs a lieu dans la premiÚre quinzaine d'août et les jeunes partent dans le courant de septembre. Au printemps, les adultes reviennent dÚs la fin de mars. Le coucou est un voyageur au long cours. Une preuve tangible en a été fournie par un coucou bagué en 1939, à sa naissance, et repris en 1952, en
Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ Grande-BretagneGaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Mar 31 Oct - 1729 Une infinitĂ© de pardonsDes bribes de chansonsEt un LALes traits se dessinent, sur le sol, la forme d'un corps meurtri a tendance Ă  se laisser marchanderMalheureusement loin d'ĂȘtre argile, elle s'effacera plus vite que si elle l'avait Ă©tĂ© Un peu comme sa prĂ©sence, une Ă©phĂ©mĂšre, tout le monde l'est, chaque chose, mĂȘme le soleil Si rapide, si lent, le fleuve s'Ă©coule, la vie aussi, puis on tombe Ă  cĂŽtĂ© de la plaque Certains essayent de retourner sur le radeau, les morceaux de bois sont rĂ©parables, tout commence avec un tronc Puis le monde ne s'est pas fait en un jour vous savez, alors les courageux ont tendance Ă  ĂȘtre sauvĂ©sIls s'accrochent, telles des sangsues Ă  la moindre brindille, puis les plus forts vont s'amuser Ă  piquer celle des autres Quant Ă  certains, ils s'habitueront au milieu pour finir naĂŻades Puis d'autres couleront, un peu comme elle, sur ce sol automnale Ă  attendre quelqu'un Ou une apparition Pour fuir ~ oĂč ? ~ Nul part ~ dans un lieu curieux ~ qui ne l'est pas ~ conclusion ~ ça ne sert Ă  rien ~ au final ça fait du bien ~ de se croire mourir, de s'imaginer dĂ©chĂ©ance Parce que mĂȘme quand c'est pas le cas, on se sent sans importance, puis la culpabilitĂ© c'est peut-ĂȘtre juste ne pas assumerNe plus ĂȘtre c'est ĂȘtre remarquĂ© parce que peu peuvent le prĂ©tendre, c'est juste une autre version de la mort ?Elle ne sait pas, elle veut ĂȘtre seule, dans ses/ces nuages de solitude, ouais ça existe, c'est comme çaUne morsure de soi-mĂȘme, un venin translucide qu'on ne voit pas se rĂ©pandre dans les veinesCaresse sur le bout de ses lĂšvres, envie de mordre mais reste muette, Mary s'attache Ă  ce doux contact, jamais elle n'aurait pensĂ© Ouvrir les yeux, puis voir, mais pourtant ne pas reculer, trop voilĂ©e, maintenant elle s'Ă©tonne de trouver dommage que la lame n'aie pas rĂ©ussi Ă  tourner la page de sa vie Alors elle respire, lorsque les yeux se croisent, sans s'Ă©loigner plus jamais plus envie, demande de rester avec cette petite fille Au final toutes deux ne sont qu'ombres, trop restĂ©e dans le Neverland pour pouvoir avoir envie de revenir, la tĂȘte toujours lĂ -bas, le corps complĂštement mĂ©tamorphosĂ©Elle laisse donc faire, quand les doigts se touchent, quand elle se relĂšve, n'Ă©coutant plus la raison, il y en a plus de toute façon, alors voilĂ , avec la meurtriĂšre vipĂšre, qui n'est rien d'autre aujourd'hui qu'une chimĂšre au visage d'angeEt cette promesse tentante aux odeurs allĂ©chantes dessiner demain ~ et pourquoi pas aujourd'hui ?EntremĂȘler les doigts, descendre la pente, suivie et menant, suivant et menĂ©e, on ne sait pas, au final c'est peut-ĂȘtre ce fil Invisible De la vie Qui les malmĂšne Sur la route, traçant encore et encore sur les feuilles mortes Devenant vie en nourrissant Puis les plaies s'infectent et cicatrisentEt elle serre, sur cette pression, ses serres d'aigle enfoncĂ©es dans la peau sans pour autant laisser un sillon Juste un soutient, une bouĂ©e de sauvetageSuivi d'un arrĂȘt, qui laisse percer l'espoir, avec un goĂ»t amer dans le fond de la gorgeY'a un chat pas net qui y est restĂ© enfoncĂ© Elles vont y remĂ©dier ~ Tu te souviens, du monde parfait d'eau et d'espĂ©rance ? ~Penchant la tĂȘte Ă  droite, elle voit comme image floue, de sa haine et des hĂ©sitations Tanguant sur un bateau-chaise, la serpentard Ă©tait mal, puis elle n'a fait qu'empirer avec joie et dĂ©dainAlors que l'intention Ă©tait noble Mary ramasse une brindille, la tend Ă  l'autre, avant de s'en trouver une, puis la jette dans le videL'inconnu LĂ , entre toutes ces branches Comme une promesse d’allĂ©gresse et de tendresse Comme un recule vis Ă  vis des faux-semblants et des truands ~ On voulait ĂȘtre dans ce lieu oĂč nous Ă©tions copines toutes les deux ~L'oiseau l'enfant et la chĂšvre qui s'amusent avec le crocodile, la vache et les abeilles~ Finalement j'ai un peu tout gĂąchĂ© ~Tout serait diffĂ©rent si elle n'avait pas Ă©tĂ© si faible et insignifiante lors de leur premiĂšre rencontreLa marche aux flambeaux des remords se donne une allure de ribambelleLes enfants tournoient, mains dans la mains, entre les chaises, les obstaclesNe se dĂ©faisant pas de la joie qui allume leurs visages Insignifiants, ils ne voient rien~ Tu veux ĂȘtre aveugle avec moi ? ~ Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Jeu 2 Nov - 1304 Tant pisPuis j'ai son LASes ongles plantĂ©s dans la chaire, le regard est interrogation quand il cherche ses yeux, incomprĂ©hensionelle se rend soudain compte que ses yeux ne sont pas vide mĂȘme assez grand que pour contenir toute la dĂ©tresse du monde, alors basculant elle avance vers le regard jusqu'Ă  s'y plonger toute entiĂšre pour apercevoir Ă  l'intĂ©rieur comme dans un film fou au ralenti, les images floues d'un paradisses lĂšvres s'Ă©cartent doucement pour marquer une surprise non feinte sans pour autant attendre un rond parfait, il ne sert plus Ă  rien Ă  prĂ©sent de perdre pied dans la comprĂ©hensionalors doucement la bouche se clĂŽt et d'un hochement de tĂȘte elle vient appuyer son accord devant ce qu'elle a vu, mĂȘme si l'autre ne peut pas le savoir, le comprendre, peut-ĂȘtre au fond a t-elle dĂ©jĂ  trop bien compris ? Le cƓur se balance de droite Ă  gauche sans comprendre le sens qui est le sien, c'est une danse macabre qu'elle lui propose et elle a l'impression de tourner en rondelle l'effraie cette fille perdue au visage pĂąle, au yeux cernĂ©s d'un bleu reflĂ©tant tant de nuit d'insomniela robe salie claque au vent alors qu'une nuĂ©e d'oiseaux s'envole au dessus de sa tĂȘte en un cri auquel elle ne porte pas un regard, trop prisonniĂšre des yeux de l'enfant bleudans les miroirs ce reflet de folie qui se cache et transporte, elle ne compte pas les secondes perdues Ă  regarder l'Ăąme lacĂ©rĂ©e, se laissant simplement aller Ă  offrir ses Ă©meraudes grisĂ©es en retour sans savoir ce que l'usurpatrice est capable d'y voir peut-ĂȘtre pas grand chose, aprĂšs tout elle est encore un peu vide, un peu perdue dans ce grand monde qui craquĂšle de partout ne sachant plus trop bien ou se trouve sa voie parmi les grands arbres qui guettent ses dĂ©cision sans la juger comme des grands frĂšres, des grands pĂšres au branches protectrices qui la porte sans qu'elle ne s'en rende compte, cette chance mais elle reste pour quelques heures encore perdue dans la recule de deux pas quand l'autre commence Ă  parler, telle un animal effrayer du bruit de l'inconnue mais un vent dĂ©licat vient la raisonner en la poussant en avant, ne serait-ce donc pas une ennemie ? elle tend une petite branche et je laisse mon regard deux secondes sur ele avant de l'attraper entre mes doigts pour doucement la ranger dans l'unique poche de la robette un trĂ©sorses doigts encore dans les miens, je l'entraine un peu plus loin de ce gouffre imaginaire dans lequel elle pourrait plonger aujourd'hui... la proposition est allĂ©chante et l'enfant gourmande aurait envie de jouer- hochement de tĂȘte - elle laisse un sourire malicieux courir sur ses lĂšvres toi tu t'en souviens simple vĂ©ritĂ© prenant des proportion effrayante une fois prononcĂ©e Ă  haute voix, elle laisse une main trembler un instant et la crainte dĂ©chirĂ© sa voix pourtant tu n'Ă©tais pas lĂ  les yeux un instant fermĂ© quand elle secoue la tĂȘte pour ĂȘtre sĂ»re de ses dires, mais elle ne sait plus rien, n'espĂšre plus rien alors du bois des doigts elle vient soulever le haut de la jeune femme et effleurer la cicatrice que ses doigts ont causĂ©s, doucement une larme coule sur sa joueje n'ai pas rĂ©ussit Ă  la sauver puis brusquement elle lĂąche tout et tourne le dos, la poitrine se soulevant avec effort au rythme d'une respiration saccadĂ©e, ce serait l'instant de s'enfuir mais elle n'ose pas, parce qu'elle a tant attendu, ce serait si dĂ©licat, alors elle prend la petite poupĂ©e frĂȘle entre ses bras, comme une princesse va la poser au pied d'un grand tronc sans se poser trop de questions, elle l'assied avec des gestes doux pour ne pas la brusquer puis dĂ©licatement son doigt passe sur les paupiĂšres du fantĂŽme qui a pris sa place pour lui fermer les yeux je peux pas ĂȘtre ta copine dans un souffle mais aveugle ça c'est possible une baguette dans ma main, comme une brindille mais en plus grand Visione Sua puis dans ma direction Visione Sua et un lĂ©ger rire enfantin qui se perd entre les branches. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Sam 18 Nov - 1926 C'est iciciciciElle est noyĂ©e, dans l'Ă©tonnante plaine verte qu'est le regard, comment s'appelle-t-elle dĂ©jĂ  ? Ah oui, la grande dĂ©voreuse Situation dans les pupilles, les herbes se prĂ©cipitent pour dĂ©vorer, tout en hypnotisant, des sirĂšnes vĂ©gĂ©tales, il ne leurs manque que le chant doucereuxSentiment que c'est pareil, deux chemins qui se rassemblent pour former les reflets d'un miroir avec la normale et les angles identiques Il suffirait d'un voile d'eau pour que les trajectoires soient changĂ©es Une courbe, des lignes rectilignes, un mĂ©lange d'amour-haine-terreur qui forment de jolies demi-teintes dans un soupçon d'hĂ©sitation qu'elle saupoudre d'indignation Il faut courir dans le sens opposĂ©, s'en aller avec de grands pas de gĂ©antsRegarder l'horloge aux bonnes heures, pour faire de jolis vƓux Des principes depuis l'enfance, que d'une pensĂ©e dĂ©vastatrice elle balaie avec insolence~ C'est fini la magie de NoĂ«lIl faut se rendre Ă  l'Ă©vidence, les jolies couleurs Ă  l'aube du matin ne sont pas faite par St Nicolas quand il crĂ©e des bonbonsLe crĂ©puscule ne reprĂ©sente pas les derniers baisers des fĂ©es pour proposer comme solution de dodo Quant aux aurores, ce ne sont vraiment pas des lanternes venant du royaume du ciel ~ Je refuse !De perdre les idĂ©es rayonnantes d'imagination. Ce n'est pas pour rien qu'elle a demandĂ© Ă  la petite dĂ©mone pour ĂȘtre aveugle. Juste s'Ă©vader pour toujours et Ă  jamais, histoire de ne plus souffrir. C'est toujours la mĂȘme quĂȘte, depuis la nuit des temps, l'homme veut-il ĂȘtre heureux ? Ou juste fuir l'Ă©tat malheureux ? AttirĂ©e comme un aimant par les doigts de l'autre Mary continue dans sa poursuite discrĂšte qu'elle hurle pourtant au monde entier ~ il n'a qu'Ă  entendre les cris de dĂ©sespoirs qui la parcourent chaque soir Dans une danse des pieds meurtris qui se retrouvent sur la pointe pour ne pas trop blesser les talons Ă  nouveaux Coup d'oeil en un petit saut ~ le sang n'a pas arrĂȘtĂ© de couler Finalement elles s'arrĂȘtent toutes deux, nouveau face Ă  face pour finir Ă  la case de la casse qui entraperçoit quelques mots qui finissent par se rĂ©pĂ©ter en bouclette des cheveux qui s'ondulent Ce n'est sans doutes pas ça la bonne rĂ©ponse, mais pas le moment de retourner sur les bancs de l'Ă©coleIl est question de souvenirs qu'elle ne comprend pas jusqu'Ă  ce que son t-shirt un peu trouĂ© se retrouve relevĂ© La blessure, la peur, la mort encore Ă  portĂ©e de mains Diablesse qui se retourne Injustice N'est-ce pas elle qui devrait souffrir ? Personne ne l'a poignarde Il n'y a pas de raisons de se mettre dans un Ă©tat pareil Pied qui tapote, un peu fĂąchĂ© un peu dĂ©goĂ»tĂ© un peu pourquoi je suis toujours lĂ Vite elle s'arrĂȘte, ça fait toujours souffrir, sans doutes des brises de larmes qui sont restĂ© nicher pour couper Ă  l'infini Aussi se laisse-t-elle vite dĂ©poser sur le sol et fermer les yeux mĂȘme si ce n'est pas l'aveugle de prĂ©vu ça lui va Mais rien n'est fini ~ dommage Avant mĂȘme de rĂ©-ouvrir le sort s'Ă©parpille, une, deux fois et la voilĂ  dans le noir mĂȘme quand elle redĂ©couvre et que la peur consume le coeur Avec ce rythme elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© ĂȘtre amie et oublier les problĂšmes et la douleur plutĂŽt que çaD'un coup elle s'Ă©nerve et devient clochetteSans tenter de faire un effort, de profiter du sortilĂšge et de ses possibilitĂ©s Abanon, faut pas rĂȘver Mary commence Ă  frapper partout, dans le vide, jusqu'Ă  trouver une surface un peu plus solide que les autres pour la martelerDes coups qui partent ici et lĂ  une fois qu'elle trouve ~ RENDS MOI MES YEUX TOUT DE SUITE JE PARLAIS PAS DE AVEUGLE DES YEUX FIN PAS EUX PAS... oups des majs angelFinalement elle arrĂȘte parce que la force lui manque mais pas la paniqueUne crise, cocon qui se contorsionne mais jamais elle n'arrivera Ă  sortir, condamnĂ©e Ă  l'Ă©tat de chenille puis nĂ©ant sans arriver Ă  celui de papillon si enviant LittĂ©ralement en position latĂ©rale de sĂ©curitĂ©, tournant dans tous les sens, emmĂȘlant dans ses cheveux des tonnes de feuilles mortes Comme elle Ne plus voir Une peur Insoutenable Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Sam 25 Nov - 1600 LalalaaaaL'attente, elle est restĂ©e sur cette branche comme un corbeau ou une colombe entre blanc et noir au final les humains uniquement pigeons dans cet univers dĂ©cadent - facile les jugement, facile d'exister aujourd'hui quand le souffle de vie emplit les poumons, demain elle essayerait d'ĂȘtre comme elle l'a promis, Ă  elle puis Ă  l'autre aussi c'est plus simple de remettre Ă  un autre jour, pour autant que cette simplicitĂ© utopique puisse exister, elle, s'emmĂȘlent avec des mots trop compliquĂ© qui lui torture le cerveau mais la douleur agrĂ©able d'une certaine maniĂšre lui permet de revenir Ă  la rĂ©alitĂ©, avoir mal mentalement pour dĂ©tacher son regard du sang laissĂ© sĂ©cher sur la couverture vĂ©gĂ©tale au sol accrochĂ©e et elle a peur un peu, du laisser aller de l'abandon et de cette solitude qui ronge si fort qu'on pourrait croire qu'elle va finir par dĂ©vorer son ĂȘtre tout entier pourquoi la vie plutĂŽt que la mort ? pause parce que l'espoir...et dans l'Ă©trange de se monde parallĂšle dans laquelle elle est plongĂ©e, la petite entends des cris, c'est l'autre qui a peur, qui ne comprends pas ou ne veut plus perdre la vue, incomprĂ©hension, n'Ă©tait ce donc pas elle qui avait demandĂ©e ? elle veut la dĂ©livrer mais ne sait de quelque cĂŽtĂ© jeter le sortilĂšge, perdue dans une noirceur qui n'effraie pas, ne la rendant que plus vivante, elle sent ses sens rĂ©pondre Ă  la moindre des sollicitations, les couleurs qui vibre en vague d'ultrason quand la jeune aigle crie - il est temps de stopper, de revenir au passĂ©, les bases et surtout celle qui permet de se retrouver et de tenter pour une centiĂšme fois d'ĂȘtre ~elle avanceun pasmental et tenter de la trouverelle a dans ses mains son espoir de trouver un autre matin quand coincĂ©e dans une nuit perpĂ©tuelle elle se perdscruautĂ© de la vie qui lui tord violemment les poignets sur les chaines, elle tire, elle crie mais il n'y a plus rien, alors __en elle l'espoir, au dessus les Ă©toiles, en dessous le videascension obligatoire elle craint de ne pas avoir le choix Ă  l'intĂ©rieur comme une piĂšce manquante, craquelĂ©e, tombĂ©e en poussiĂšres que le vent a emportĂ©es si loin...Elle attrape Ă  l'aveuglette entre ses doigts, son bras, sa main Ă  prĂ©sent plaquĂ©e contre le sol, une brindille magique qui se lĂšve et la formule du bout des lĂšvres quand elle la dĂ©livre retrouver la lumiĂšre, mais ĂȘtre aveugle lui convient encore Ă  elle du moins pour un temps, alors d'un mĂ©lodie au bout des lĂšvres elle fredonne un air pour tenter de clamer la petite folie prisonniĂšre de ses peurs, jouant avec ses mĂšches emmĂȘlĂ©es comme pour tenter de la rassurer. Aveugle, elle a l'impression de toujours l'aimer. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Dim 10 DĂ©c - 859 Souffle saccadĂ© dans une peur incontrĂŽlable qui fait fuir les sens le sang les sans abris dans les fils de mes cheveux qui s'emmĂȘlent je ne vois plus je suis comme morte et cette impression de dĂ©jĂ  vu, puis la certitude j'ai peur du noir j'ai peur du soir et des dĂ©mons qui peuvent courir Ă  en perdre la raison me faisant tourner la tĂȘte, mains plaquĂ©e contre les oreilles qui entendent et voient Ă  la place des billes brunes, jolies couleur noisette j'aime pas ça alors je continue Ă  bouger, Ă  ne plus ĂȘtre, ne plus paraĂźtre il n'y a plus rien hormis la frayeur et la panique s'attise elle-mĂȘme. Elle augmente, transformant tout en une guerre rageuse tourbillonnante, j'aime je dĂ©teste je deviens incomprĂ©hension lorsqu'il s'agit de tour, de ronde. C'est comme cette impression que tout sonde lorsqu'on devient toupie mĂȘme si c'est une boule hĂ©risson, les cheveux se dressent et la chair de poule peut s’apercevoir sur les bras. Sans oublier le parfum de la peur simplement horreurSimple apaisement en sentant un contact Ă  la fois froid comme la peau d'un serpent mais aussi doux comme le cĂąlin d'une maman, mains rassurantes mais plus grand-mĂšre dans mon cas. Soulagement Ă©phĂ©mĂšre de ne plus ĂȘtre seule dans un cercueil de verre quand les mots se murmurent et que les tremblement finissent Ă©parse sauvĂ©e. La vue m'est redonnĂ©e par un enchaĂźnement magique insensĂ© pourtant je reste muette et enfermĂ©e les yeux clos peur que ça soit redevenu gris. Puis des mĂ©lodies qui calmentUn bout de souffle partagĂ© Down by the river by the boatsWhere everybody goes to be aloneWhere you wont see any rising sunDown to the river we will runOn est un peu sur cette eau toutes les deux Ă  l'infini et je me laisse bercĂ©e par les remous non la voix d'Ellana de cette maladresse de traĂźtresse qui accroche pourtant les coeurs malgrĂ© les cicatrices qu'elle inflige, gravĂ©es au fer chaud sur l'Ăąme et le visage pour rappeler Ă  jamais ces rencontres destructrice, et lĂ  voilĂ  qu'elle me materne telle une nourrice et je fredonne Ă  mon tour les quelques mots le baume appliquĂ© sur un coeur tout voix s'entremĂȘlent Des parts entiĂšres donnĂ©esWhen by the water we drink to the dregsLook at the stones on the river bedI can tell from your eyesYou've never been by the riversideSe perdre dans l'oubli, ne plus faire confiance aux souvenirs passĂ©s qui essaient de remonter pour crier danger Ă  l'envie de faire confiance une nouvelle fois dans un perpĂ©tuel recommencement. Corbeau fourmi renard cigale et les dĂ©boires d'une fontaine un peu trop limpide qui a dĂ©cidĂ© de devenir opaque. Serpent moldue vipĂšre victime assassin, au final juste une faiblesse de ne pas luter mais une façon diffĂ©rente en se laissant aller par l'abandon et en voulant se battre sans arriver Ă  contrĂŽler les pulsions passĂ©es prĂ©sentes ou Ă  venir qui sont lĂ  juste au bord prĂȘtes Ă  tomber dans le chaudron, Ă  un pas du lit de la riviĂšre de notre on tombe juste sur les rochersJ'ose ouvrir, reprise d'un Ă©lan de courage, paupiĂšre relevĂ©e, le changement ne s’aperçoit pas facilement mais il y a un peu de terne et des reflets bordeaux, du vert foncĂ© sur les feuilles et cette rĂ©alitĂ© qui frappe alors que jamais je n'aurais pensĂ© que celle qui a enlevĂ© pouvait rendre, au final faut que tout vienne d'elle, comme ce chemin croisĂ© aux morceaux de verre cassĂ©. La plante des pieds toujours douloureuse pourtant t'es la troisiĂšme qui me rend un peu de pleure Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Lun 18 DĂ©c - 1058 Elle a entre les lĂšvres une saveur exquise qui explose contre son palais dĂ©licat alors que ses yeux clos ne trouvent plus la lumiĂšrepar facilitĂ© peut-ĂȘtre que parfois s'endormir sans regarder ce qu'il se passe autour est bĂ©nĂ©fique peut-ĂȘtre est-ce pour ça que les petits sont heureux, que les nouveau nĂ© arrive Ă  sourire sans avoir les lĂšvres gercĂ©es sans devoir se mentir Ă  eu mĂȘme pour tenter d'ĂȘtre heureux, ils nagent dans un monde diffĂ©rent, un monde de vie et d'insouciance - une marre tranquille et sereine - petites grenouilles elles ont peur de quitter leurs bassins, faible crĂ©ature Ă  la fois enviĂ©e, Ă  la fois dĂ©testĂ©e au final cela ne menait Ă  rienmalgrĂ© toute cette infinie volontĂ© que de ne pas laisser une certaine Ăąme enfantine trop vite s'envoler ou peut-ĂȘtre la possibilitĂ© de s'Ă©lever avec elle mille mĂ©taphores __il fait un peu froid vers la mort ? elle n'y croit pas un quelconque destin l'enfant ne tremble pas parce qu'au fond ce n'est que supercherieselle sait qu'au yeux de la loi, au nom du miroir elle a dĂ©jĂ  perdu le statut si important Ă  ses yeuxle douleur dans le cƓur de recevoir un pieuperdue, dĂ©sagrĂ©gĂ©e comme les feuilles mortes d'un automne Ă©teint la vie peu Ă  peu rend l'Ăąme dans un cris et la douceur du gout sucrĂ© se transforme progressivement en saveur amer qui la fait tousser se vider de ses maux, de ses pĂ©chĂ©s comme si une seule Ă©jection pouvoir Ă  jamais la libĂ©rer du poison utopie elle et elle Ă©taient des aimants maudit, pas ce genre de sornettes que l'ont lis dans les romans sur les pages desquelles coule l'eau de rose mais deux corps scientifiquement appelĂ© Ă  se rejoindre pour se donner un peu de quelque chose et mĂȘme l'Ă©loignement ne se trouvait ĂȘtre que pour mieux rapprocher les deux ĂȘtres se haĂŻssant dans des souvenirs lourds de souffrances il n'y avait plus de coupable Ă  prĂ©senty en avait-il dĂ©jĂ  vraiment eu ? libĂ©rĂ©e de son aveuglement elle pire des soleil pour l'autre, elle qui lui brĂ»lait les pupilles de son embrasement elle prĂ©fĂ©rait ne rien voir mais encore et toujours entendre cruelle peur dans le besoin, le monde avait cessĂ© de tourner rond__il y a de cela une Ă©ternitĂ© dĂ©cision de ne pas te lĂącher, dans tous les sens du termesparce que les yeux fermĂ© elle lui ressemblait si fort que l'on aurait pu s'y tromper et par cela mĂȘme l'impression que c'Ă©tait l'enfant qui avait eu tord de poignarder la fiertĂ© peut-ĂȘtre faisait elle son office, ou la perdition de voir son mon tomber en lambeau petit jamais on ne lui avait dit que c'est mal de tuertremblement imperceptible, elle enclenche une rĂ©action chimique d'Ă©motion, je pose sur ses joues une main que j'en retire mouillĂ©e de sel comme effleurer les dĂ©gĂąts d'une plaie immense et en ressortir ses paumes imbibĂ©es d'Ă©carlate, aveugle cette fois de toute façon il n'y avait plus rien pour compter - un sourire - elle sort les mots bateaux ne pleures pas parce qu'elle a peur des mots prisons bien plus compliquĂ© Ă  contrĂŽler - sourcils froncĂ©s - la troisiĂšme ? trois c'Ă©tait un bon chiffre mais aussi un nombre atroce, elle n'aimait pas trois c'est qui la premiĂšre ? bref intĂ©rĂȘt, elle aurait pu aussi demander la seconde ou encore l'antĂ©pĂ©nultiĂšme mais pas sĂ»re de savoir compter jusque lĂ  et toi ? parce qu'au fond il n'y avait plus que cela qui importe. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Mer 27 DĂ©c - 1723 c'est deux fois toute la playlist en fait mais bonElle est glacĂ©e et Ă  la fois rassurante. Une larme c'est quelque chose qui dĂ©barque un bon nombre de fois sur un visage. Je l'ai trouvĂ© souvent nĂ©gative comme un signe incessant de faiblesse mais si j'y rĂ©flĂ©chis un peu plus je peux cesser de prendre la sensibilitĂ© pour un absurde, c'est un fait, c'est comme ça, un peu comme un trait du visage qu'on ne choisit pas. Je pourrais ne pas montrer cette petite goutte d'eau et l'essuyer mais je la laisse simplement faire son chemin. C'est un peu comme un signe de vie et de sentiment qui se prĂ©lasse sur ma joue. Peut-ĂȘtre que je dois cesser d'en avoir honte, peut-ĂȘtre que les regards dĂ©sabusĂ© fasse Ă  la tristesse ne sont que des enfoirĂ©s. Peut-ĂȘtre que je ne dois pas la prendre pour un mal mais pour un bien. Une pĂ©pite qui montre que ce n'est pas trop grave et qu'on peut Ă©vacuer ce qui pĂšse sur le coeur de notre façon. Puis les gens ne se rendent pas compte Ă  quel point ils peuvent peser et tuer Ă  petit feu c'est pas ma faute, disent-ils mais c'est pas grave quand on final on a ces petites billes d'eau qui essaient de nous soutenir. Faut juste passer outre les incomprĂ©hensions extĂ©rieures et se dire que ce n'est pas si main vient se poser, je ne sais pas ce qu'elle en fait des perles qui s'Ă©talent sous ses doigts ni l'intĂ©rĂȘt qu'elle emporte en les voyant tĂącher sa peau mais je laisse faire. La chanson s'est tue aprĂšs mon affirmation, elle s'Ă©coule toujours sur le fleuve. Les notes se sont envolĂ©es vers d'autre cieux mais pas ceux vers lesquels se portent mes yeux. Le voile du bateau s'en est allĂ©, nous ne pouvons plus avancer mais il reste cette eau si apaisante de laquelle je me satisfaits pour l'instant. Si je veux Ă  nouveau retrouver la rive je m'en irai en nageant, battant des bras et des jambes. Dans une mare couleur rouge et orange, couleur sang et automnale. J'aime tellement sentir la caresse des feuilles contre moi, voir ces morceaux morts s'emmĂȘler dans ces cheveux bruns. Ce qui est bien c'est cette sensation de ne pas ĂȘtre la seule Ăąme morte qui s'efface pour essayer de trouver une fonction nouvelleAu contraireIl y a euxIl y a elleIl y a moiOn a beau dire Le sentiment d'appartenanceDe ne pas ĂȘtre isolĂ©C'est un cadeau qu'on doit garderDans un coin de latĂȘteFaut pas le zappery'a rien de pire que ce sentiment d'ĂȘtre seul alors qu'on est entourĂ© de milliers d'Ăąmes errantesmais pourtant personne essaie de vous comprendreparce que c'est vous le problĂšmela mĂ©chantela dĂ©rĂ©glĂ©e celle pour qui rien n'est fait comme il faut Une voix raisonne je ne sais plus trop d'oĂč elle vient, sans doute me suis-je perdue Ă  nouveau dans la contemplation mais je refuse de l'Ă©couter, Ă  moins que je n'arrive plus Ă  m'arrĂȘter, ce ne sont pas des larmes de tristesses ou bien de joie, ce sont des gouttes de beautĂ© alors je les laisse chacune lentement glisser sans tenter de les en empĂȘcher. Puis elle demande et je me retourne, tĂȘte posĂ©e toujours contre ses genoux pour l' joints. Pas la, le premier et cette douleur lancinante attrape par les cĂŽtes, je tousse et je tremble. ArtĂ©mis dans cet oubli les images reviennent et un sourire borde les lĂšvres maintenant c'est fini il a dĂ©cidĂ© de me tuer lui aussi simplement par des actes et non pas seulement les mots, les mots sont une force et je sais que si je l'avais Ă©coutĂ© je serai restĂ©e apitoyĂ©e et pitoyable contre ses pieds. Il y a Kohane aussi et sa beautĂ© de rĂȘves qui ne font qu'agrandir le sourire bĂ©at prĂ©sent sur mes lĂšvres puis maintenant toi simplement difficile Ă  accepter ce qui crĂ©e un froncement de sourcils reste ce et toi si rarement demandĂ© mais je ne sais Ă©trangement pas quoi en faire, il est rare et on ne me demande pas souvent un avis alors je ne sais pas. Du coup je me relĂšve en tentant de savoir mais je ne comprends pas ce qu'elle veut par cette interrogation, Ă  nouveau perdue il n'y a pas d'autres rĂ©ponses et sans prĂ©cisions je ne saurais jamais alors peut ĂȘtre que demander Ă  mon tour et toi alors ? pour rendre la pareil, pour pouvoir rĂ©pondre aprĂšs, pour savoir simplement aussi, parce que parfois j'ai envie de comprendre les mĂ©canismes qui rĂ©gissent les vies. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Dim 31 DĂ©c - 1520 Avec l'autorisation de Mary et Ellana pour poster. Merci Post uniqueLa forĂȘt bruisse de tous ses petits bruits de fond. La terre humide Ă©touffe les pas. J'ai l'impression d'ĂȘtre aussi discrĂšte que le vent lĂ©ger qui fait s'agiter les branches par est sentiment d'ĂȘtre seule dans un vaste monde dont on ne voit pas le bout. Il n'y a que des arbres Ă  perte de vue. De ces arbres rouges et oranges d'automne. Qui annoncent dĂ©jĂ  l'hiver Ă  venir. Lequel n'est cependant pas encore lĂ . Pas tout Ă  fait. Un entre-deux qui ne durera pas longtemps, je le sais bien. Un entre-deux dont je veux profiter soleil luit Ă  travers les feuilles de feu. Parfois, les hautes branches lui gĂąchent la vue. Mais il y a toujours les minces interstices oĂč il parvient Ă  se glisser, subtilement, pour quelques reflets offerts sur les je dĂ©ambule dans ce dĂ©cor de calme absolu. Une sĂ©rĂ©nitĂ© si peu trouvĂ©e au milieu de la ville et des trottoirs. Ici, j'oublie le monde et la foule, j'oublie les reproches et les trahisons. Un peu comme lorsque je me pelotonne au fond d'une couette au fond d'un chalet au fond des Alpes. C'est si loin de tout qu'on oublie, quelques secondes ou quelques heures, qu'il existe autre chose au-delĂ  de cette bulle rĂ©gĂ©nĂ©ratrice. J'entends le cric-crac des feuilles mortes sous les pieds. Alors que mes poumons respirent profondĂ©ment cet air forestier. Je devrais y venir plus souvent. Histoire de retrouver un peu de paix. Cette forĂȘt, elle pourrait tout aussi bien m'ĂȘtre familiĂšre que pas du ne sais pas bien. Je ne sais pas trop oĂč je suis. De toutes les façons, pour moi toutes les forĂȘts sont un condensĂ© de quelques Ă©vĂ©nements marquants. Y'a eu la chasse aux Leprechauns mais pour sĂ»r, c'Ă©tait pas ici, c'Ă©tait en Irlande. Mais c'est aussi dans ce dĂ©cor que j'ai retrouvĂ© Ellana, mon petit oiseau aux ailes coupĂ©es, au cƓur trop lourd de trop de larmes versĂ©es. Mais c'est aussi dans une forĂȘt que j'ai rencontrĂ© Leo, la toute premiĂšre fois. Une autre vie, une jeunesse oubliĂ©e, laissĂ©e derriĂšre par bribes, le bruit Ă©touffĂ© de mes pas dans les feuilles et la terre me rappelle notre excursion, notre longue balade au milieu des je m'arrĂȘte. Mon Ɠil vient de voir une jolie fleur aux teintes orangĂ©es. Seule. Qui semble appeler. Muette. Je m'approche. Elle est belle. Chaude. Porteuse d'un espoir silencieux. Le genre de chose que je recherche. Ce pour quoi je suis je me penche et, d'un geste prĂ©cis, sans aucune hĂ©sitation, la cueille. Ca fait clac. La belle fleur est Ă  moi. Au passage, je ramasse une feuille aux couleur d'automne. Qui s'accorde parfaitement avec la chaleur d'espoir de la premiĂšre. Parfait. Il ne me reste plus qu'Ă  faire sĂ©cher le tout. Sourire. Au trĂ©sors serrĂ©s contre moi./Post unique ; Mary et Ellana reprennent le sujet ensuite. Merci Ă  vous !\ Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Mar 2 Jan - 1653 Gna gna gnaJ'ai vu, la vie, cette nuit, sortir de ses draps Ă©meraudes pour venir caresser le bout de mes doigts et dans un soupir je me demande pourquoi, nous sommes ici encore et toujours lĂ . Toi et moi, comme si c'Ă©tait Ă©vident que plus rien d'autre ne comptait et je sais Ă  quel point j'ai ce besoin de te sentir toi aussi exister. Comme si mon propre bonheur ne me suffisait qu'Ă  demi, parfois, souvent, j'ai peur, tu sais ? pour toi, pour moi et lui. Encore un million de gens, je peux, j'ai le cƓur assez grand pour une part d'amour, un simple bonjour, je peux essayer mais je mentirais. Il n'y a pas grand monde que j'arrive Ă  vĂ©ritablement aimer ou peut-ĂȘtre est-ce du au fait que je donne dĂ©jĂ  beaucoup de sentiments sans qu'on ne m'en ai demandĂ©. Un sensibilitĂ© Ă©crasante. je souffle un peu. brisĂ©e contre la terre, je peine Ă  respirer alors que mes yeux dĂ©jĂ  se sont Ă©teints. mais pas mon regard, est-ce que tu sais ? est-ce que tu vois ? Comme mes mains se posent sur toi, tu es lĂ , je suis Ă  tes cĂŽtĂ©s et Ă©trangement ta prĂ©sence me rassure lorsque j'ai l'impression de me perdre. peut-ĂȘtre parce que je me dis que je suis comme toi, que nous sommes dans la mĂȘme galĂšre, la mĂȘme embarcation Ă  ramer encore et encore dans une mer de sang sans comprendre pourquoi nous ne nous sommes pas encore jettĂ©e Ă  l'eau. Tu crois que ce serait la solution ? ou peut-ĂȘtre juste celle des lĂąches je ne comprends plus trop ce qui m’anime les dĂ©sir que j'ai encore Ă  lutter alors que tout semble perdu. mais c'est peut-ĂȘtre que dans ce tĂȘte Ă  tĂȘte, il n'y a pas qu'un visage. Dans tes yeux j'ai lu une force Ă©trange et rassurante, une folie forte et une raison vacillante. J'ai aimĂ© tes yeux que tu as tant jugĂ© insignifiants, j'ai aimĂ© jusqu'Ă  vouloir te dĂ©truire d'un coup de poignard. Mais tu n'es pas ont utilisĂ© de belles mĂ©taphores pour parler d'amour chez eux le sang ce n'est qu'un mot parmi d'autrepasser Ă  l'acte est trĂšs diffĂ©rent, cela nous change, nous brise, nous dĂ©chire je suis une immondice et je le sais, c'est sans doute ce qui rend mes agissements encore plus cruels, parce que je ne suis pas idiote, que je me rends bien compte que cela va blesser et pourtant je continue, comme sous l'emprise d'une maladie dont je n'espĂšre plus guĂ©rir, je n'ai jamais espĂ©rĂ©. parce que Ă©goĂŻstement ça me fait un bien fou. le sentiment insensĂ© d'ĂȘtre libre avant que l'on ne m'enchaine. Car je finirais enchaĂźnĂ©e, je le sais. Pourtant je n'ai plus moi il y a encore l'Autre et je la berce doucement en jouant avec ses cheveux comme des feuilles mortes qui pourraient bien d'effriter sous mes doigts. Les explications ne tardent pas lorsqu'elle fait sonner entre ses lĂšvres un nom maudit Arty, je serre les dents, Ă  moi aussi il m'a pris beaucoup tout comme je lui ai fait du mal. Je n'ose imaginer ĂȘtre la responsable d'une possible rupture entre mon oisillon et le sale gamin. L'envie de lui refaire le portait me tiraille soudain avant que je ne me rende compte que je suis tout aussi coupable. Sais-tu donc prĂšs de qui tu te trouve ? Puis la seconde, Kohane lorsqu'Ă  mes oreilles rĂ©sonne ce nom c'est tout une cascade d'Ă©motion qui se dĂ©verse sur mon cƓur. Oui ma bien aimĂ©e est magnifique, tellement qu'elle parvient Ă  aider la petite bleue avant moi. Je souris doucement. Quelle chance de l'avoir parfois rien que pour moi. Son visage doucement dans mon esprit se dessine et les battement de mon cƓur s’accĂ©lĂšre toi alors ? du tac au tac je suis amoureuse avant que les esprits ne reviennent pour rĂ©veiller. je l'ai sentie se lever mais j'ai peur mon tour de tomber. je tend une main dans ce que j'espĂšre ĂȘtre sa direction avant d'avouer tu sais compter jusque combien ? vĂ©ritable sens de ma question peu perdue dans le temps et l'aveuglement une main tendue dans le nĂ©antj'espĂšre encore qu'elle puisse la prendre pour m'aiderpensant rĂ©ellement n'ĂȘtre qu'une enfantpuis une interrogation vient effleurerest-ce que tu me dĂ©testes ? GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Dim 7 Jan - 1320 Quatre heures mais j'y suis arrivĂ©e xDJ'ai mal Ă  la tĂȘte. Elle tourne un peu trop plus que d'habitude et d'habitude c'est vachement souvent. Le tronc droit, autre que couchĂ©, ça tangue et j'ai encore plus l'impression d'ĂȘtre sur un bateau en phase de couler. Je pense toujours Ă  l'eau et au radeau avec les sempiternelles sirĂšnes qui chantent Ă  tue-tĂȘte un peu partout dessus dessous elles m'entourent pour lacĂ©rer ma tĂȘte j'aimerais tant leur crier d'arrĂȘter de me laisser tranquille une bonne fois ; mes yeux sont Ă©carquillĂ©s ~ du moins c'est l'impression que j'en aie, comme si on venait de me poignarder et ça je sais ce que c'est. La douleur reprend ses droits je ne parviens plus Ă  l'oublier ~ c'est de lĂ  que vient le problĂšme j'imagine. Et les trahisons s'enchaĂźnent sur ce cerveau si dĂ©bile qui n'a rien trouvĂ© de mieux que pointer du doigt les endroits sensibles en criant danger danger danger tes coups sur la tĂȘte Mary tes entailles aux pieds Mary tes crevasses au coeur Mary et ta peau blancheur fait si mal d'ĂȘtre vieEt dans toute cette molasse c'est comme si j'Ă©tais assise au centre d'une piĂšce complĂštement plongĂ©e dans l'obscuritĂ© - je m'autorise Ă  fermer les yeux pour m'y voir plongĂ©e. Il y a cette chaise et l'Ă©crasante pesanteur qui me colle au sol. Je le sens inexistant, pourtant je suis quand mĂȘme arrĂȘtĂ©e, j'arrive pas Ă  m'enfoncer plus loin. J'suis une Ăąme qui fait du surplace sans pouvoir bouger. CollĂ©e contre collĂ©e les yeux se refusent Ă  revoir l'ouverture. J'observe la douleur je ressens la douleur je suis douleur et pourtant reste extĂ©rieur. C'est terriblifiant d'ĂȘtre deux Ă  la place d'un, parfois c'est mieux d'ĂȘtre un seul extrĂȘme ; bien que l'exercice soit compliquĂ© au moins on sait Ă  quoi s'attendre selon les degrĂ©s, jamais on ne s'imagine qu'il peut il y avoir d'autres possibilitĂ©s qu'on a en aucun cas envie de Ă©teint allumĂ© Ă©teint Voix silence voix silencemots rĂ©veils sortir du bateau pour revenir Ă  la nage~ faire les choses par soi-mĂȘmeEt ils raisonnent encore un peu avant que j'arrive Ă  attraper leur consistance et la texture, qui s'Ă©clipse contre mes doigts avant de revenir Ă  la charge. Amoureuse mot poisseux, vaste connerie et pourtant si grand dĂ©lice. L'amour se dĂ©ploie et ses branches se ressemblent toutes avec quelques nuances j'en connaissais beaucoup et elles se brisent et se cassent de plus en plus. Le poids sur le coeur qui dĂ©mange et la sensation de vide quand l'amour devient dĂ©sillusion. danger danger danger c'est Ă  nouveau criĂ©, les lettres sont plus grosses quand les souvenirs de la douleur reviennent. Peut-ĂȘtre que tu rĂ©ussiras Ă  ne pas te sentir volĂ©e lorsque les trahisons seront de mises en esperluette avec l'abandon, croisĂ©es pour former un presque signe de l'infinitĂ©. Puis il y a cette main que tu tends Ellana et je sais pas si j'ai envie de l'attraper. Yeux fous, yeux flous je regarde sans attraper ce n'est pas vraiment le moment car elle continue, trĂšs bonne question mais je ne sais si je connais la nombres et les chiffres se perdentinfinitĂ© de possibilitĂ©s Je sais compter jusqu'Ă  l'infini tant que le papier est assez grand pour tout noter j'aime bien poser le stylo sur la feuille, contact avec un arbre mort qui amĂšne Ă  la tristesse mais sentiment grisant de mĂȘler deux corps pour former des courbes et des droites - sourire de satisfaction il faut dire que j'aime ça. Amour fait mal et je ne parle pas que de l'Ă©motion mais aussi de cette Ă©trange crĂ©ature qui parcourait les sbires ~ encore un autre univers qui manque tant. La fin est un peu plus dĂ©licate j'ai peur de blesser mais dans la quĂȘte de dĂ©saveu je ne sais plus trop quoi penser. Je regarde une nouvelle fois quand les idĂ©es tiraillent des deux cĂŽtĂ©s et c'est bien compliquĂ© car je ne sais pas alors dans une ultime dĂ©chĂ©ance je capture ses doigts dans les miens puis les entremĂȘlent, liĂ©es comme pas deux devant un monde trop complexe, loin de la perfection que nous avions une fois cherchĂ©e. Je crois que ça dĂ©pend il y a tant de choses qui sont passĂ©es difficile d'apprĂ©cier celle qui a voulu te dĂ©truire et te tuer et ça claque dans l'air comme un fouet dans le vent mais pourtant je n'arrive cependant pas Ă  te haĂŻr, difficile Ă  avouer, maman non plus est impossible Ă  dĂ©tester et Arty je l'aime toujours mĂȘme si il a contribuĂ© Ă  la remontĂ©e et Ă  la descente, de drĂŽles de montagnes russes. Et malgrĂ© tout j'ai envie de t'aimer ça rappe la gorge cette vĂ©ritĂ© que j'aimerai inexistante mais qui ne veut pas partir, sans doute l'envie de facilitĂ© qui domine la peur de tous les soirs, si je l'ai avec moi ça fera moins de soucis Ă  traiter. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Dim 7 Jan - 1932 Ça fait longtemps, Mary, que je connais ton visage, de jour, de nuit, sobre et puis folie et pourtant je ne m'en suis pas lassĂ©e, ça vient de tes yeux, Mary, ils changent, de teinte, de vie, de peine, de cris. Ils changent comme tu changent, comme je change comme parfois nous arrivons Ă  nous aimez, je crois juste, tu sais que nous sommes sur diffĂ©rentes frĂ©quences, toi tu vas plus lentement tes courbes sont longues et harmonieuse, pas forcĂ©ment rĂ©guliĂšre mais moins rapide, alors que moi c'est sans cesse des hauts et des bas en permanence jusqu'Ă  ce que je ne sache plus ou donner de la tĂȘte que j'explose parce que je ne suis plus capable de te dire si je t'aime ou si je te dĂ©teste. Je crois qu'il Faudra simplement attendre un jour oĂč nous seront accordĂ©e, un moment oĂč les astres se seront alignĂ©s, un instant oĂč tout seront beau, oĂč tout sera magique parce que lĂ , Mary, nous sommes simplement coincĂ©es. Je tente de te dire, je tente de t'aider, simplement de t'aimer ou plutĂŽt de m'en donner l'illusion, avoir le beau rĂŽle ça plait toujours n'est-ce pas ? Mais qui est la victime ? s'il y en a vraiment une... Je la regarde avec cette vision un peu Ă©trange, une main tendue en espĂ©rant ĂȘtre prise, j'ai pas envie d'essuyer un refus puis des larmes alors s'il te plait essaie de m'aider, juste une poignĂ©e de main pour me guider, je te promets qu'aprĂšs je te lĂąche les doigts, jurĂ© qu'ils ne finiront pas en morceau mĂȘme si ma promesse ne vaut surement plus grand chose Ă  tes yeuxc'est Ă©trange d'ĂȘtre comme ça si volatile ce dire qu'au fond pour elle mes paroles son une brise sucrĂ©e, amer et parfois bienfaisanteparfois cette relation m'arrache les sourires elle sait compter jusqu'Ă  l'infini, je n'en doutais pas trop, elle sait faire beaucoup de chose auxquelles les autres sont incapables de penser comme respirer une minute et zĂ©ro virgule six secondes dans la flotte, faut se rendre compte que parfois certains talents nous dĂ©passent simplement, alors je suis heureuse Amour fait mal j'ai envie de lui crier que lĂ  c'est mon bras qui a super mal Ă  rester en l'air comme ça sans qu'elle ne veuille bien m'aider Ă  me relever mais ça me semble ĂȘtre une mauvaise idĂ©e alors je n'ose rien dire et je ne bouge pas, dans le fond elle n'a pas tord, l'amour ça dĂ©chire, ça dĂ©truit, ça tord le ventre et puis ça fait vomir du rose, ensuite on a des paillettes dans les yeux au dĂ©but c'est joli, aprĂšs ça pique et les larmes commence Ă  couler parce qu'absolument rien n'est on y croit quand mĂȘme Ă  l'amour parce qu'au fond il n'y a pratiquement que ça pour donner un sens profond Ă  une vie et je sais que chacun de mes geste je le fais par amour parce que je serais incapable de vivre froide et dĂ©tachĂ©e de tout comme il me plaira pourtant bien de le prĂ©tendre. Je soupire. Il faut arrĂȘter les romans. Ça fait mal. Et le monde s'en fou. Elle fini par prendre mes doigts et mon bras s'en retrouve soulagĂ©, immĂ©diatement je me remets debout mais ne lĂąche pas sa main elle a trop bien emmĂȘler nos doigts. Si nous n'y mettons pas du nĂŽtre en mĂȘme temps ça risque de faire un peu mal ou pire un gros nƓud et ça, sincĂšrement ça ne m'arrangerait vraiment pas malgrĂ© toute l'affection que je veux bien avoir pour fuis un peu de mes oreilles ses derniers phrases pour ne capter que l'ultime qui m'arrache un peu de satisfaction. Ainsi ça va, je n'ai pas trop ratĂ©, tu es toi aussi comme le monde qui ne peux s'empĂȘcher de m'aimer sans que je n'en comprenne bien la raison. je souris. tu te coinces toutes seule dans ta propre prison. le vent siffle. mais je suis contente que tu ne me dĂ©testes pas... quoi de plus subjectivement normal aprĂšs tout ? le contraire ne nous aurait pas aidĂ©e je soupire de toute façon ont est maudite c'est inĂ©vitable petit rire amusĂ©, moi ça m'allait encore bien cette idĂ©e. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Mer 17 Jan - 2157 Il y a des pays oĂč quand quelqu'un dit quelque chose de dĂ©placĂ© on lui rappe la langue afin qu'il ne le rĂ©pĂšte plus jamais et lĂ  tout de suite j'aimerai laver ce muscle jusqu'au sang, jusqu'Ă  ce qu'il ne soit plus qu'un morceau de charpie. C'est sorti tout seul et je m'en veux un peu. J'ai peur. Et si elle arrĂȘtait d'ĂȘtre gentille ? Il y a des gens comme ça, qui passent de dĂ©testable Ă  sympathique pour l'attention et rien d'autre, vĂ©rifier des hypothĂšses et torturer aprĂšs. L’apprĂ©hension me bouffe il vaudrait mieux que nous nous dĂ©testions mais t'es incapable de prendre une dĂ©cision alors tant pis, la bouteille est jetĂ©e Ă  la mer, il ne lui reste plus qu'Ă  trouver une autre rive. En espĂ©rant que ce ne sera pas un message Ă©garĂ© qui se retrouvera au fond de l'eau aprĂšs avoir Ă©tĂ© sais Ellana quand je te vois j'ai envie de fuir et de sauter dans tes bras, de t'enlacer et de te cracher au visage. T'agis comme un baume qu'on vient frotter au-dessus du coeur pour soigner les maux mais pas n'importe lequel. Qui pique ; un mal pour un bien, soigner la douleur par cette derniĂšre elle-mĂȘme ; le physique pour arrĂȘter les soucis psychologique, comme la peau tu vois qui se couvre de plaques quand intĂ©rieurement c'est la tempĂȘte. Les larmes de tristesse elles ne suffisent pas parfois, des fois elles se mĂȘlent avec celles de frustrations, et les thĂ©oriciens s'accordent tous pour dire que ça ne fait pas bon mĂ©nage. Trop de controverse dans un coeur qui lui n'Ă©tait pas bien protĂ©gĂ©, une pauvre chose ridiculement molle qui n'avait pas un verre assez solide pour le protĂ©ger. Puis aprĂšs les fenĂȘtres se brisent et les morceaux cassĂ©s viennent se ficher lĂ  oĂč ils ne devraient pas, y'a la crĂ©ation de plaies toussa. Une machination infernale qui se veut pour toujours dans une danse terne et dĂ©solĂ©e, on s'accroche comme des rapaces, vautours sur des proies qui nient qu'ils s'attachent avec cette intensitĂ© noueuse Ă  leur proies en se disant que si elles ne tombent pas, ce sera une de leurs rĂ©ussite Ă©perdument cherchĂ©eJ'entends ton souffle lointain, t'es proche pourtant, je bouge d'un millimĂštre et nos peaux se rejoignent. Mais t'es trĂšs Ă©loignĂ©e aussi. Dans un univers diffĂ©rent t'sais qu'on vit pas au mĂȘme endroit, on a pas les mĂȘmes visions. Parfois on se rejoint dans un creux, comme si de temps Ă  autres ils s'entrechoquaient pour permettre de se rencontrer, de parler, de voir un peu ce qu'il se cache de l'autre cĂŽtĂ© de la glace. Ptet que c'est pour ça, les problĂšmes de communication parfois. On essaie sans relĂąche et tout se casse Ă  cause de cette bribe de sĂ©paration. Ou alors nos couleurs de bulles sont vraiment incompatibles, comme on en a jamais vu. C'est possible aussi....C'est pour une toute autre raison pourtant que ses paroles me font grincer des dents. C'est dingue. La vĂ©ritĂ© elle se tasse. Elle m'englobe dans un cocon chaud. Trop chaud. Prison c'est l'histoire de chaque vie tu sais Ellana t'en fais pas,la vipĂšre est tout autant en prison que toi tu veux frĂŽler la libertĂ© de tes doigts mais y'aura toujours cette enveloppe savonneuse autour qui ne te lĂącheras pas. C'est Ă  penser que la seule vĂ©ritable sensation de libre, c'est cette mort qui frĂŽle quand elle se brise, le moment oĂč tu t'en sĂ©pares et que tu t'Ă©lĂšves plus haut que tout alors non non non non ce n'est pas moi qui me met des barriĂšres, elles Ă©taient dĂ©jĂ  lĂ  avant je veux croire que tu mens. Sauf si c'est une malĂ©diction, que cette fois tu as raison, sur toute la ligne et lĂ  je peux bien faire un baluchon et partir loin si haut sur la lune je veux pas je veux pas je veux pas je veux en est hors de questionpuis il n'y que les menteurs qui rigolent comme çaTout retombe, le monde devient Ă  l'envers, Ă  moins que ce soit moi qui suis retournĂ©e je ne sais pas. La douleur est toujours prĂ©sente mais en m'appuyant sur un arbre, j'arrive Ă  un peu me relever. Fermant les yeux pour ne pas sombrer au vus des tĂąches sombres qui voilent ma vue je crie dĂ©sespĂ©rĂ©ment que Non, je refuse d'y croire alors que j'y crois toujours, mais ce sont les sirĂšnes les fautives, ou bien les couettes fantĂŽmes je ne sais pas aucun connecteur ne se lie avec un autre y'a plus rien de cohĂ©rent j'aime pas ça je crois que je vais vomir et chose dite chose faite, des arc-en-ciel sortent de ma bouche. Oups. Je crois que la vie c'est nul. Puis mĂȘme que on est pas dans le mĂȘme monde et qu'on se comprend pas et que c'la faute des bulles ! toutes les pensĂ©es sortent Ă  moins que je ne veuille pas les dire je ne sais pas j'ai mal Ă  la tĂȘte je crois stupide sensation de douleur tu savais pas te taire ? Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Dim 21 Jan - 1347 J'ai voulu, je le promets, t'aider. Mais tu as repoussĂ© ma main parce que dans l'histoire je suis la mĂ©chante aimĂ©e et toi la gentille dĂ©testĂ©e. Alors on se perds dans nos propre rĂŽle, je me façonne selon le regard des autres et toi tu vis, tu respires, tu es. Alors je t'envie, Mary. De ne pas rĂ©ussir Ă  rester simplement lĂ  comme toi, d'avoir ce besoin si fort sans cesse de me retrouver au centre de l'attention, sous la lumiĂšre qui me brule et fait trembler mes doigts. Est-ce que je suis vraiment sure d'aimer ça. Je ne connais pas cette notion de simplicitĂ© alors je viens, te pousser, t'abaisser, te dĂ©chirer. parce que j'en ai un peu trop besoin. Parce que sans cela je me sens inexistante et faible. mais quelle est donc la vĂ©ritable faiblesse ? On court tous aprĂšs le temps, la vie, l'ennui, je ne peux te voir, mes yeux sont malade. d'un sortilĂšge il n'y a plus que les nuages de ce monde qui vibre autour de moi. Et pourtant je sais que tu es lĂ  et ça me fait du bien, je crois. j'en suis presque sĂ»re sans pouvoir le crier. parce qu'il y a encore tant de chose que j'ai l'impression d'ignorer. Et je ne suis pas assez grande, toi non plus. Ont Ă  sept ans toute les deux maintenant et ça ne change pas grand chose. L'Ăąge de raison, on y croit qu'Ă  moitiĂ©. Je poignarde des gens, tu le sais un peu trop bien, c'est avec toi que j'ai commencĂ©. A quoi rime nos actes ? On est tous un peu trop perdu. C'est pour se rassurer qu'on entre dans des catĂ©gorie insensĂ©e. triĂ©es par couleurs, immonde supplice. Toi t'es bleue et moi verte. Je me demande parfois si le systĂšme n'est pas simplement crĂ©e pour provoquer des tension et des impression de supĂ©rioritĂ©. Au final, qui sommes nous donc vraiment ?Au cƓur de cette forĂȘt oĂč tout pousse encore peut-ĂȘtre que nous sommes simplement proie apeurĂ©e qui tente de se faire du mal ou de s'aimer alors qu'il n'y a que le loup qui a le droit de tirer les ficelles. J'en ai marre de jouer Ă  ĂȘtre une poupĂ©e. Je veux crier moi aussi, demande si le monde est sĂ©rieux. S'il compte vraiment nous rĂ©duire en esclavage. Mais c'est dĂ©jĂ  fait, au fond, nous sommes toutes les deux un peu enchaĂźnĂ©e et nous nous sommes condamnĂ©es ensembles alors parfois je me demande quand viendra le moment de sauter. le dernier instant avant l’ÉlysĂ©e pour toi, les champs du chĂątiment pour moi. Je crois que j'ai peur de finir, juste remplir son rĂŽle au final. J'ai pas le droit de me creuser la tĂȘte, pas le choix non plus. Je dois montrer des dents mais j'ai envie de pleurer parce que c'est pas facile ce rĂŽle Ă  jouer. Et elle est un peu trop Ă©goĂŻste Ă  toujours venir pleurnicher. Comme si elle Ă©tait la seule victime de ce monde, si au final personne d'autre qu'elle ne pouvait souffrir. Et je bloque mes pensĂ©es parce que je sais que je pense beaucoup trop pareil. Ou juste donne l'impression... Je veux respirer. Mais ça ne sert plus Ă  rien de s'acharner. Elle dit qu'elle va vomir, j'y crois pas une demi seconde avant de brusquement m'Ă©carter. une odeur nausĂ©abonde monte jusque mon nez alors que je recule de cinq pas et demi. C'est malin... le bruit me soulĂšve le cƓur alors que l'envie de l'imite me monte Ă  la gorge. Je refuse. Mes dents se on est pas dans le mĂȘme monde. Mais parfois si et parfois non et parfois je ne sais pas. C'est pour ça qu'on se comprends une fois sur trois, mais dans quel univers est-ce qu'on peut s'aimer ? Elle dit avoir mal Ă  la tĂȘte, je comprends parfaitement. Moi aussi et la derniĂšre fois que t'as cru ça s'est plutĂŽt bien rĂ©alisĂ©. Je grimace. Mon cƓur bat doucement. Je pars. J'annonce. Devenir un poisson dans un aquarium rond ça ne me tentait pas trop je devais l'avouer. Crac. Autre lieu, autre temps. Mon corps s'enroule dans les draps blanc et je pleure.[Fin du RP, merci beaucoup ! ] ZĂ©lie HepburnPrĂ©fete/Gryffondor Re Promenons-nous dans les bois...ZĂ©lie Hepburn, le Mer 7 FĂ©v - 2329 Dream on- pv Madilyn -Libre-arbitre accordĂ©__________________________ La lumiĂšre est Ă©clatante, aveuglante. Tes paupiĂšres se referment brusquement, automatisme. Tes mirettes ne peuvent pas supporter une telle intensitĂ©, ça brille, ça Ă©blouit, ça brĂ»le mĂȘme. Tu portes tes mains Ă  tes paupiĂšres toujours closes. Tu les frottes vigoureusement parce que tu veux voir, parce qu'il faut que tu saches oĂč tu as atterri. Alors le voile obscur et Ă©clatant se lĂšve lentement, laisse place Ă  ce qui t'entoure. Au dessus, en dessous, de chaque cĂŽtĂ©. EnfermĂ©e dans une boĂźte. Gigantesque. Merveilleuse. Chemin sinueux, un brouillard dense t'empĂȘche d'avancer. Ou peut-ĂȘtre es-tu simplement enracinĂ©e ? Tes yeux se baladent d'eux mĂȘme Ă  travers le tableau colorĂ©. Bleu, rose, rouge, jaune, nuance de multicolore, polychrome Ă  souhait. Pas besoin de jambes pour voyager. Il y a tant de choses Ă  voir. De nouveaux dĂ©tails semblent se greffer ci et lĂ , toujours plus. Fixation d'un point. Tu ne peux dĂ©tourner la tĂȘte de tous ces nouveaux pigments toujours plus intenses. Et si tu manquais quelque chose ? Les arbres discutent dans leur coin, se murmurent des choses Ă  l'oreille, font frĂ©mir leurs feuilles. Tu les entends. Les fleurs chantent. De joie. De fiertĂ© peut-ĂȘtre aussi. Elles dansent. Vert, mauve, orange. Le ciel semble profondĂ©ment endormi comme si le soleil s'Ă©tait paralysĂ©, ses doux rayons pĂ©trifiĂ©s, ses nuages immobilisĂ©s. Peinture. Des nuages que tu peux toucher si tu t'en donnes la peine, il te suffit de lever un bras. Mais ce n'est qu'une illusion, ils sont aussi inaccessibles que le sens Ă  tout cela. Tu ne te poses pas de questions. Il fait chaud, tu es bercĂ©e par l'atmosphĂšre onirique du paradis merveilleux. Madilyn NebuloPoufsouffle Re Promenons-nous dans les bois...Madilyn Nebulo, le Mer 14 FĂ©v - 1915 Les couleurs se rĂ©veillent et prennent tes pupilles en chasse, agressives de vivacitĂ©. Un micro-univers, estompĂ© par la brume et les nuages un peu flous. Des chants lyriques et dĂ©cousus, floraux et exaltĂ©s. Chuchotis en tous genres, murmures du ciel, l'horizon ressemble Ă  un perroquet et le ciel est bleu comme une orange, la nature ondoie et danse en un rythme pĂȘchu et muet. Le silence est constellĂ© des cris des brins d'herbe que tu Ă©crases imprudemment. Tu enchaĂźnes les pardon, excusez-moi, je n'ai pas fait exprĂšs, je suis dĂ©solĂ©e. Et puis tu te rends compte qu'il y a une silhouette lĂ -bas, Ă  contre-jour, tu n'es pas vraiment sĂ»re est-ce un ĂȘtre humanoĂŻde ou un dĂ© Ă  coudre ? Tu t'avances, intriguĂ©e, en empruntant le sentier qui serpente entre les irrĂ©gularitĂ©s de l'Ă©trange paysage, tu marches longtemps et puis tu te rends compte que tu n'as pas progressĂ© sur l'allĂ©e depuis que tu as commencĂ© Ă  alors, te dis-tu, quand tu te rends compte que le chemin, ce vil coquin, avance seul sur ses petites pattes. C'est idiot. Cela revient Ă  marcher sur parcours du regard ce panorama si singulier. Je vais devoir marcher sur le gazon. Il rouspĂštera un peu mais je n'aurai qu'Ă  m'excuser en faisant route, tu te dis distraitement, sans trop te poser de questions tiens, il y a un sourire qui flotte lĂ -bas dans le ciel, et puis tu penses Ă  autre lĂ©gĂšre senteur de thĂ© te parvient aux narines. Entre les arbres, un arc-en-ciel commence Ă  pousser, avant de grandir encore jusqu'Ă  former une voĂ»te dans le ciel. Une autre pensĂ©e sans queue ni tĂȘte atterrit dans ta cervelle la vie est comme un jeu de cartes, n'est-ce pas ? Dans ce cas, aujourd'hui est un as de puis tu arrives devant cette silhouette qui de loin te paraissait avoir une certaine ressemblance avec un dĂ© Ă  coudre, et tu te rends compte que c'est en fait une jeune fille. Les mots sortent seuls, autonomes et indĂ©pendants, en avalanche, en dĂ©rive Le roi sur l'enclume a dĂ©posĂ© une feuillue girafe. Le monde est comme une chaussette Ă  gruyĂšre, ne pensez-vous pas ? ZĂ©lie HepburnPrĂ©fete/Gryffondor Re Promenons-nous dans les bois...ZĂ©lie Hepburn, le Mer 21 FĂ©v - 1549 Bruyant silence. Tu n'arrives pas Ă  dĂ©terminer l'origine de cet espĂšce de soupir. Murmures des collines Ă  l'horizon, murmures des champignons Ă  pois qui attendent aux abords du chemin qu'on les cueille. azeferthzjnjhbsqdf. L'incomprĂ©hension d'une langue imaginaire. As-tu rĂ©ellement besoin de la comprendre ? Tes sens se mĂ©langent. Tu vois les gazouillis des oiseaux -Ă  moins que ce soit des papillons?-, tu respires la douceur de l'herbe qui te chatouille la plante de pied et tu entends une ombre qui se rapproche pas Ă  pas. Tu ne la remarques pas tout de suite. Elle rampe vers toi sans bruit. Son mĂ©lodieux qui s'Ă©lĂšve, qui transperce le silence. Voix douce, mielleuse, succulente. — Le roi sur l'enclume a dĂ©posĂ© une feuillue girafe. Le monde est comme une chaussette Ă  gruyĂšre, ne pensez-vous pas ? wxcvbhkfdgsgds pourtant ces mots qui se fraient un chemin vers tes oreilles te sont curieusement familiers. Était-ce les tiens dans une autre vie ? Tu te retournes afin de flairer la crĂ©ature non en proie Ă  la peur. HumanoĂŻde, Ă©trange. Une cascade de feu qui entoure un visage mouchetĂ©. Pleins d'Ă©toiles partout. Belle crĂ©ature. Future compagnon de route. — Tu veux bien rester avec moi dis ? Elle est cruelle. Je ne veux pas la croiser... seule. Sang, lame qui s'abat, dernier souffle, monstruositĂ©. Prends garde au tournant. azeferthzjnjhbsqdf, tu le comprends maintenant. — Un monde merveilleux pleins de couleurs. Mais entre le blanc et le rouge, il y a le noir. Re Promenons-nous dans les bois...Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum I6o35A.
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