News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 3,6 2118 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Alerte rouge ? 157 critiques spectateurs 5 22 critiques 4 40 critiques 3 36 critiques 2 18 critiques 1 19 critiques 0 22 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Un très bon cru Pixar sorti aujourd'hui sur Disney + et qui aurait grandement mérité une sortie cinéma !Premier long-métrage de la firme à être réalisé par une femme ça semble fou depuis le temps, "Alerte Rouge" est bien sûr techniquement époustouflant, bon nombre de séquences regorgent d'idées de mise en scène géniales et mettent en valeur l'identité visuelle une fois de plus unique de ce film un croisement entre l'ambiance des années collège du début des années 2000 entre Tamagotchi et overdose de boys bands, la culture asiatique et le cadre de la ville de Toronto !En ce qui concerne le sujet, on peut évidemment rapprocher l'histoire de cette adolescente énergique, qui tente de s'émanciper de la surprotection parentale et des traditions, à celle de "Encanto" mais il faut bien avouer que "Alerte Rouge" se montre plus malin en faisant de sa soudaine métamorphose en un énorme panda roux au gré de ses émotions exacerbées par cet âge une métaphore de l'arrivée abrupte de sa puberté le titre n'est pas anodin et son besoin d'une plus grande liberté avec le risque de la transformer en frustration pour le reste de son existence si elle choisit de l' film s'empare très adroitement de ce discours pour le conjuguer à toutes les finalités de son récit avec des personnages bien dessinés pour l'occasion et réussit même à le traduire à travers de très bonnes références asiatiques qui atteignent des proportions absolument inattendues dans son dernier acte, le tout accompagné d'une signée Ludwig Goränsson et des chansons de Billie Eilish qui collent parfaitement à l'ambiance de cette ça ne détrône pas mes favoris de chez Pixar mais "Alerte Rouge" se place dans le haut du panier de leurs derniers films. Après Vice-versa et Lucas Pixar continue de s'intéresser et d'explorer l'adolescence et comme toujours avec le studio c'est une réussite. La maîtrise de ses émotions et la découvertes de ses sentiments seront le coeur de ce nouveau long-metrage remplie de magie et d'humour. Couvert par une mère trop protectrice, reproduisant les mêmes erreurs de sa propre mère, Meilin Lee se rebellera et s'émancipera à travers ses amis et les classiques sujets de l'adolescence, premier amours, boys bands... et aura fort à faire avec la boule de poils qui l'habite. Visuellement impeccable, le savoir-faire et la qualité de l'animation étant le fer de lance du studio depuis sa création, Pixar continue son parcours sans faute en nous offrant une de fois de plus un film qui ravira petits et grands. Cela faisait longtemps que je n'avais autant apprécié un Disney-Pixar depuis "Vice-Versa". Autant dire "Soul" m'avait touché, mais "Turning Red / Alerte Rouge" m'a ensorcelé, c'est une pépite d'animation. Techniquement, c'est impeccable avec un mélange des styles entre Pop culture et animation 3D comme nous avons l'habitude de voir de la part du studio Pixar. Concernant le rythme, c'est maîtrisé également à tel point que les 90 minutes d'animations passent à une vitesse fulgurante. A noter également qu'il n'y a pas de "méchant" tel qu'on l'entend dans un Disney, le seul ennemi c'est soi-même et je trouve ça d'une force ce qui fait la force de "Turning Red", c'est l'idée de base le passage de l'enfance à l'age adulte et la crise émotionnelle qui s'en suit, la remise en cause de ses choix, de ses envies et le corps qui change. Tout ça réprésenté par un magnifique...Panda départ, le choix du panda ne m'a pas convaincu un aspect trendy du même style que la licorne avec les jeunes filles...mais après visionnage je trouve la métaphore audacieuse et elle colle tout à fait à l'univers du film. Je ne sais pas si le panda roux a une spiritualité liée à la culture orientale, mais le concept et l’énergie qu'il dégage me parle, comme une force qui fait partie de nous-même mais que nous ne parvenons pas à maîtriser. Les enfants y verront une grosse peluche, mais ça va bien plus loin que ça. La réflexion sur la vie de jeune adulte et son émancipation est un thème souvent abordé au cinéma et par l'univers de Disney-Pixar, mais cette fois c'est présenté ici avec beaucoup d'élégance, de sensibilité et de Parmi les avis, beaucoup s’indignent de l’effacement du genre masculin, réduit à un rôle d’observateur, de dominé et en infériorité numérique. En effet, le père de l’héroïne parait absent la plupart du temps, derrière le caractère fort et prenant de sa femme, mais malgré son absence sur les deux tiers, c’est lui qui a une discussion clé avec sa fille, qui la pousse à être elle-même, a se poser des questions sur ses vrais désirs. Le père, très discret, a pourtant un rôle essentiel il est le protecteur au sens émotionnel plus que physique c'est plutôt l'inverse dans la réalité, et c’est ça aussi qu’on attend d’un père en 2020, quelqu’un à l’écoute. Ce film renverse les codes de société et c’est très audacieux, j’apprécie. quel dommage que le plus grand nombre ne pourra découvrir Turning Red/Alerte Rouge sur grand écran, car on tient là un très bon Disney/Pixar le meilleur depuis Soul !Domee Li était déjà derrière le super court-métrage Bao oscarisé et avec ce 1er vrai film, elle s'identifie déjà comme un des noms de a firme à suivre !On y suit Meilin Lee dit "Mei Mei", une ado de 13 ans tiraillée entre les exigences familiales en enchainent les excellentes notes et en écoutant chaque conseille de sa mère Ming, et son envie émancipatoire notamment auprès de ses copines.Un canevas de base très girly comedy, mais qui va prendre une tournure plus fun alors que Mei va se découvrir détentrice d'un curieux pouvoir ancestral celui de se changer malgré elle en panda roux géant la couleur de la colère, de l'envie, des menstruations...t'as capté selon ses émotions ! L'enjeu sera donc de dompter cette apparente malédiction, tout en essayant de trouver son Red est un mélange improbable entre coming-of-age story comme souvent chez Pixaret aventure humoristique le film est un des plus drôles de la firme versant dans la mystique chinoise et la japanim notamment le kaiju eiga.Car oui d'entrée de jeu, le film ne ressemble pour ainsi dire à aucun autre film d'animation US, en mariant à la fois un style occidental mêlé à de vraies influences asiatiques on pense beaucoup à Ranma 1/2 ou bien Sailor Moon que ce soit en terme de concept, de mise en scène ou de character design.Techniquement encore une fois c'est de toute beauté le travail sur les matières est encore une fois admirable chez Disney/Pixar, tout en jouissant d'une direction artistique qui sent bon la singularité l'action se passe à Toronto en 2002 la réalisatrice ancre cela à l'époque de sa propre jeunesse, et loin des réseaux sociaux, avec des teintes bleutées-rosées stylisées personnages féminins sont à l'honneur comme pour la production de ce film qui a duré 4 ans, pour au final être un vrai film sur la puberté, le désir, les conflits familiaux, la toxicité maternelle,la soif de liberté...des thématiques classiques et où le film va évidemment vers des sentiers connus mais abordées avec bcp d'authenticité et de jamais à aller plus loin dans la subjectivité, on tient là un Pixar stylisé et excité du bulbe, très très bien écrit, somptueux visuellement, rythmé à la perfection, doté d'un super doublage et de persos clou du spectacle est la BO de Ludwig Goransson, conjuguant sonorités asiatiques et hip-hop avec une énergie absolument d'enfer le climax est dingo niveau son, notamment grâce à Ren Klyce qui était aussi superviseur chez Fincher ou sur les Indestructibles 2, pour son meilleur taff depuis Black un des meilleurs Pixar récents en ce qui me concerne pour lequel il faut accepter le postulat de base mine de rien, à savoir suivre une fille fan de simili One Direction hilarants, mais qui a bcp à offrir Le tout dernier Disney Pixar "Alerte Rouge" disponible en streaming sur Disney+ se révèle comme un excellent film d’animation. Avec un visuel véritablement plaisant, des personnages touchants, une histoire à la fois sensible et hilarante et un univers vibrant rempli de références amusantes, le film qui réunit les meilleurs ingrédients à succès du studio s’impose comme le meilleur de la franchise depuis 2017. Plongé dans la drôle ambiance ado des années 2000 et au cœur d’une étrange mythologie chinoise de pandas roux, "Alerte Rouge" inspiré de l’adolescence de la réalisatrice Domee Shi se montre comme une œuvre authentique et pleine d’émotion à ne pas manquer. -16/20Critique sur Alerte Rouge filmVu le sur Disney+ La jeune cinéaste Domee Shi se sert d'une culture encore inexploitée chez Pixar, à savoir les asiatiques en Amérique du nord, et d'un folklore autour d'une malédiction qui transforme les filles d'une famille en panda roux, pour faire une grosse métaphore sur la puberté et tout les changements qui s'en decoulent. C'est ça que j'adore toujours chez Pixar, cette faculté à créer des films à double niveaux de lecture. Les plus jeunes pourront se satisfaire de l'histoire sympa d'un panda roux au design super mignon lâché dans une ville, ainsi que de très bon moments d'aventure, à l'image de cette espèce de climax final, et un côté humour qui fonctionne les plus âgées par contre c'est une véritable pépite très riche de fond. On suit clairement le passage de la jeune Meilin dans le monde des femmes. Les changements physiques et mentaux, la découverte de nouvelles émotions, devoir les contrôler,l'éveil sexuel, les premiers sentiments, l'acceptation ou non de soi, les conflits avec des parents parfois trop exigeants ou envahissants, et bien plus. Tant de choses qui moi, en tant qu'homme, m'ont permit de découvrir que la puberté c'est sûrement plus compliquée chez les filles. Et ça ne fait pas de aussi adoré tout l'aspect autour des boys band, les tamagochis, enfin tout ce qui rappelle l'époque fin 90 - début 2000 que je n'ai pas vécu. J'ai envie de dire heureusement au vue des musiques absolument sent vraiment que la réalisatrice s'est inspiré de sa jeunesse, tant dans le cadre spatio temporel, elle, sino-américaine ayant grandit dans les années 2000, et tant dans les sentiments qu'elle à choisit de transmettre, des sentiments qui ont l'air tellement personnelles et sincèresLes personnages sont aussi une réussite. Meilin est introduit brillamment tout comme son groupe de copines, dans un premier quart d'heure extrêmement plaisant. Tous ont une importance à un moment du récit. Les 3 copines de Mei-Mei bien sûr, sa mère évidemment, mais même sa grand mère, son père ou les 4 towns jouent un rôle prépondérant. Côté esthétique, c'est excellent, c'est du Pixar quoi. C'est clair qu'il n'y a pas la claque visuelle qu'on peut ressentir dans les 2 derniers films du studio, Soul et Luca. Mais par contre il y a beaucoup d'idées de mise en scène et d'expérimentations notamment sur des gros plans ou des couleurs. Enfin bref Alerte Rouge c'est très riche, et c'est dommage que Disney nous est encore chié à la gueule en le mettant sur sa plateforme. Il ne méritait pas cela. Ce dessin animé est véritablement un pur bonheur. Il apporte une fraicheur de ton. La colorimétrie est excellente et l'humour est très présent. Vraiment, on passe un super moment en famille! Un Pixar avec une belle histoire, une belle inventivité, mais qui reste un peu trop formelle et simple pour vraiment emporter avec lui les spectateurs. Elle deviendra malheureusement ce film sorti sur plate-forme parmi une multitude d'autres productions oubliables. C'est divertissant, c'est tendre, c'est drôle, mais ça ne boulverse pas. Disney et Pixar nous livrent un film d'animation totalement réussi. C'est drôle, bien rythmé, le scénario est super sur le thème de l'adolescence, et les images sont belles. Bref, un super divertissement ! Turning Red est certainement la production la plus vulgaire et dégradante du répertoire Pixar tant le regard qu’il porte sur l’adolescence contemporaine manque de distance critique et de pudeur – non par pruderie mais par respect pour celles et ceux qui la vivent. Voilà un objet épileptique qui atteste la dégénérescence d’une génération gavée de sucre et de programmes idiots, ici incarnés par ce groupe de jeunes chanteurs minets qui viennent se produire à Toronto. La rivalité entre une fille et sa mère vire sans tarder à l’outrance, faisant de l’une une pile électrique qu’il ferait bon d’éteindre et de l’autre un tyran paranoïaque. L’anecdote voudrait que la réalisatrice s’inspirât de son histoire personnelle pour la composer, ce qui ne saurait constituer un quelconque gage de qualité. Le choix d’un panda géant comme métaphore du corps de la fille sujette à l’adolescente est traité avec la légèreté d’un pachyderme impression d’un corps monstrueux, rouge sang des règles, poils, humeurs variables… La lisibilité est totale, évidente, grossière. Aussi la métaphore perd-elle de son intérêt pour devenir massive, irritante, prétexte à la mise en place d’un récit balisé qui ne traite jamais de l’opposition entre traditions et modernité, culture d’origine et culture d’adoption. Trop occupé à conforter la bêtise de ses héroïnes insupportables, le film pourrait se résumer à une gesticulation permanente gonflée aux chats mignons et à leurs yeux qui implorent la pitié de spectateur. Nulle pitié pour cette production abjecte. Mais qu'est devenu Pixar ?!?!?! Ce n'est pas possible que le célèbre studio signe ce film ! Sans réelle surprise, nous suivons les aventures de cette adolescente qui souhaite s'émanciper face à la pression familiale, le Panda Roux en étant une interprétation. Sur le papier, oui. À l'image, non. Ce n'est pas très efficace, quelques éclats de rire par-ci par-là redonnent espoir mais à la fin on est déçu... Et la musique de Billie Eilish n'est pas du tout intéressante. Bref une belle déception... Alerte Rouge » portait en lui la promesse d’un autre beau récit sur l’adolescence comme on en a déjà vu tant, mais au fond pourquoi pas ? Finalement, ce long métrage d’animation est certainement le plus mauvais Disney-Pixar que j’ai vu jusqu’ici. Pourtant dans le genre je trouvais que Nemo», Là-Haut» et Volt» étaient pas mal. Dans ce film, on suit une fillette en pleine crise d’ado mais qui va connaître quelques changements corporelles pour le moins surprenant et cela partez d’une bonne intention sur le papier d’autant plus que les studios Disney n’avaient jamais vraiment aborder le sujet frontalement. Malheureusement, le résultat est décevant au possible. On a l’impression que le réalisateur et son équipe sont plus occuper à remplir un cahier de charges sur la thématique qu’autre choses. Puis, le film reprends à son compte des éléments transformation» La Belle et la Bête, la culture chinoise Mulan, Raya et le dernier dragon, la crise d’adolescent Vice-Versa d’autres films sans jamais les développés réellement. On reste tout du long sur quelques choses de beaucoup trop simpliste et clichés. Tout les stéréotypes concernant la génération Y 2000-2009 sont présent malfringués, mecs débiles, pop musique...et ce n’est certainement pas cette histoire débile qui devrez rehausser le niveau. Les personnages n’ont aucune finesse et surtout ch**nt à mort, et agaçant au possible. L’animation est vraiment immonde. En conclusion Alerte Rouge» prouve que Disney-Pixar sont des studios qui ont renoncés à l’essence même de la création, et cette volonté de raconter de belles histoires. Tout est prévisible, pateau, bref une très grande déception. L’époque des bons Pixar» est décidément résolu, et je ne pense pas aller voir le prochain. Pour moi, Pixar viens de se tiré une balle dans le pied tant ce film est abrutissant de bêtises, il mériterait de remporter plusieurs Razzies prochainement. Propagande mondialiste qui prône une jeunesse dépravée. Sous ses airs bon enfant les messages véhiculés par ce film sont à vomir. Le pire de tous étant qu'à 13 ans on est une femme capable de monnayer nos nouvelles formes. C’en est presque difficile à écrire, mais Alerte rouge » se positionne clairement comme l’une des moins bonnes productions du studio Pixar. Si ce n’est peut-être même la pire. On n’aurait jamais cru pouvoir dire cela mais c’est un film d’animation raté. On ne dira pas non plus qu’il est vraiment nul mais c’est tout de même mauvais dans les grandes largeurs. Avec cette nouvelle production, le studio à la lampe entend nous plonger dans la communauté chinoise de Toronto après s’être penché, entre autres, sur la communauté hispanique dans Coco ». Et ici, plus particulièrement sur le cas d’une petite fille qui entre dans la puberté et qui doit apprendre à contrôler ses émotions sous peine de se transformer en immense panda rouge. Pixar qui tente de faire son Kung-fu Panda » ? Non hormis les inspirations culturelles, les deux films n’ont rien à Alerte rouge » tente des choses jamais vues chez Pixar sur le fond comme sur la forme, la mayonnaise ne prend pas et on se retrouve devant une production hybride très spéciale qui n’enchantera pas vraiment la plupart des spectateurs comme ont pu le faire la quasi-totalité des films du studio. C’est fastidieux au démarrage et on trouve souvent le temps long. De plus, les thématiques abordées le sont maladroitement et jetées en pâture un peu n’importe comment. On parle d’émancipation, de l’importance de rester soi-même, de la difficile période de l’arrivée des menstruations et de l’entrée dans la puberté mais de manière un peu fourre-tout. Et Alerte rouge » d’être beaucoup plus une œuvre à destination du public féminin et adolescent, donc beaucoup moins fédératrice qu’un Ratatouille » ou un Vice-versa » et aussi beaucoup moins fun qu’un Les Indestructibles » ou Le monde de Némo ».Les occasions de rire ou d’être ému marque de fabrique Pixar tout de même sont quasi inexistantes. Tout est excessif et poussif. On sent clairement qu’on a voulu intégrer un visuel qui emprunte aux animés asiatiques des mangas en passant par les films de Miyazaki. Mais ce rendu hybride rend le résultat peu esthétique. Les séquences ressemblant à ces sources d’inspiration s’intègrent mal au reste, qui fait pâle figure d’ailleurs. En effet, hormis le rendu très réussi du panda, l’animation est étrangement banale pour une production Pixar. Quant au scénario, il part dans un grand n’importe quoi général plus le film avance. Entre platitude et hystérie, on a presque hâte que cela se termine, d’autant plus que la petite héroïne est tout sauf attachante. Et quand l’intrigue ajoute une sous-intrigue avec un groupe de pop ridicule et chansons en sus on en vient à se demander si Alerte rouge » n’est pas le premier accident industriel de Pixar ?Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion. Comme à leur habitude Pixar peut nous sortir un concept où ont pourrait ce dire comme vont t’il faire un film de 1 h 30 sur ce genre de chose et encore une fois le pari est réussi après le Chef d’œuvre qu’était Soûl et le Très Bon nous présente Alerte rouge le 3 éme Pixar a sortir sur Disney + assez dommage d’ailleurs j’aurais préféré voir celui ci au cinéma mais ça n’empêche pas que j’ai énormément aimé le film malgré les conditions à savoir a la maison le film nous propulse dans quelle que chose que ont a soit connue soit que ont va connaître à savoir la puberté au début puis à la fin quand ont arrive à la gérer et c’est tellement bien expliqué fait que le film ne peut être que réussi encore une fois Pixar montre qui sont les boss durant c’est dernière année l’un des seul studio d’animation qui arrive à me faire lâcher une larme pendant ou après le Visionnement encore bravo Pixar signe encore pour un Chef d’œuvre qui restera dans la même lignée des dernières Pixar sortie ❤️ Foncez voir le film ci ce n’ai pas fait Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse

Télécharger l'article Télécharger l'article Aujourd’hui, quasiment tout le monde a une adresse électronique afin d’envoyer et recevoir des courriels. Que vous ayez un ordinateur de bureau, un ordiphone ou une tablette, il est très facile d’avoir une adresse électronique gratuite et personnalisée. Vous pouvez la créer sur n’importe quel service de messagerie Gmail, Outlook ou encore Yahoo! Mail. 1Ouvrez les réglages de votre iPhone ou de votre iPad . Sur l’écran d’accueil, l’icône en est des roues dentées. Si vous ne la voyez pas, elle est peut-être dans votre dossier Utilitaires. Gmail est le service de messagerie gratuit de Google. 2Faites défiler l’écran, puis appuyez sur Comptes. C’est le premier des cinq réglages, en haut du menu. 3Appuyez sur Ajouter un compte. C’est la deuxième ou troisième mention du menu Comptes. 4Appuyez sur Google. 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Si vous proposez un nom d’utilisateur déjà pris par un autre, vous en serez averti et devrez en changer. Modifiez le nom que vous avez pris en le rallongeant ou en changeant un ou deux caractères. 9Tapez un mot de passe, puis appuyez sur Suivant. Un mot de passe solide contient au moins 8 caractères et est un mélange de lettres, minuscules comme majuscules, de chiffres et de caractères spéciaux &, , _, etc.. 10 Ajoutez éventuellement un numéro de téléphone. Ce n’est pas obligatoire, mais comme vous n’êtes pas certaine de ne pas oublier votre mot de passe, il est plus sage d’entrer ce numéro pour pouvoir accéder à votre compte. Si vous désirez entrer votre numéro de téléphone, tapez-le en haut de l’écran, puis appuyez sur OUI, J’ACCEPTE afin de procéder au contrôle du numéro de téléphone grâce à un code envoyé par texto. Lisez et suivez les instructions qui s’affichent à l’écran, vous allez recevoir un code de confirmation qu’il faudra entrer dans le formulaire. 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Si c’est le cas, appuyez sur Adresse e-mail oubliée ?, puis sur le bouton noir il devrait apparaitre. 6Dans le menu déroulant, sélectionnez Pour moi-même. 7Tapez vos nom et prénom, puis appuyez sur Suivant. Dans Gmail, ils apparaitront tels que vous les aurez tapés. 8Choisissez votre date de naissance et votre sexe. Cela fait, appuyez sur Suivant. 9 Sélectionnez votre adresse électronique. Vous avez deux possibilités ou vous appuyez sur une des propositions d’adresse électronique et vous sélectionnez Suivant ou vous créez votre propre adresse et en ce cas, appuyez sur le champ Créer votre propre adresse Gmail, entrez votre nom d’utilisateur, puis appuyez sur Suivant. L’adresse électronique qui va être créée le sera à partir du nom d’utilisateur que vous aurez choisi et sera de la forme votre_nom_d_utilisateur Votre nom d’utilisateur devra contenir au minimum 6 caractères. Si vous entrez un nom d’utilisateur déjà pris, cela vous sera signalé. Essayez avec un autre nom en ajoutant un chiffre ou un symbole à celui proposé en premier. 10Créez votre mot de passe, puis appuyez sur Suivant. Un mot de passe solide contient au moins 8 caractères et est un mélange de lettres, minuscules comme majuscules, de chiffres et de caractères spéciaux &, , _, etc.. 11Procédez à la vérification de votre numéro de téléphone. Sous Android, cette vérification est nécessaire à la création d’une adresse Gmail. Entrez votre numéro de téléphone, appuyez sur Suivant, puis suivez les instructions qui s’affichent à l’écran. À la fin, vous recevrez dans un texto un code de confirmation sur votre ordiphone. 12Adossez éventuellement un numéro de téléphone à votre compte. Cela peut être utile pour récupérer un mot de passe que vous auriez oublié. Pour cela, faites défiler l’écran, puis appuyez sur OUI, J’ACCEPTE, sinon sur Ignorer. 13Vérifiez votre adresse électronique, puis appuyez sur Suivant. Si vous en êtes arrivée à entrer une adresse qui sort un peu de l’ordinaire, il serait bien, pour les premiers temps, de l’inscrire quelque part, le temps que vous la sachiez par cœur. 14Prenez connaissance des conditions d’utilisation de Gmail. Si vous êtes d’accord avec le contrat, appuyez sur J’accepte. Le bouton est dans le coin inférieur droit de la page. En appuyant sur ce bouton, vous vous engagez à respecter les règles et conditions édictées par Gmail. Vous êtes alors renvoyé sur la liste des comptes Google, augmenté bien sûr du nouveau. 15 Appuyez sur ACCÉDER À L’APPLICATION GMAIL. Le bouton est au bas de l’écran. Vous allez vous retrouver sur la page de la boite de réception de Gmail. Pour passer d’un compte à l’autre, appuyez sur l’image de votre profil en haut de l’écran, puis sélectionnez l’adresse électronique voulue. 1 Sur votre navigateur préféré, rendez-vous à cette adresse. Prenez le navigateur que vous voulez, ce n’est pas un problème. Gmail est un service de messagerie électronique gratuit pour les particuliers, conçu et proposé par Google. Si vous avez un ordiphone ou une tablette sous Android, vous avez obligatoirement un compte Google et donc une adresse Gmail. Sachez qu’il est possible d’avoir plusieurs comptes Google faites des recherches sur… Google ! 2Tapez vos nom et prénom dans les bons champs. Vous pourrez le faire dans les deux champs du haut du formulaire. 3 Tapez votre nom d’utilisateur. Sous les champs que vous venez de remplir se trouve un autre champ qui va vous permettre de créer un nom d’utilisateur, lequel servira de base à votre adresse électronique. À titre d’exemple, si vous avez tapé comme nom d’utilisateur MartinJean, votre adresse électronique sera, si elle n’est pas déjà prise, MartinJean Si ce nom d’utilisateur est déjà utilisé par un autre, il vous sera proposé un autre nom d’utilisateur proche dans sa composition. Vous pouvez en choisir un ou taper un autre nom d’utilisateur. 4Créez, puis confirmez votre mot de passe. Dans les deux champs Mot de passe et Confirmer, tapez exactement le même mot de passe. Un mot de passe solide contient au moins 8 caractères et est un mélange de lettres, minuscules comme majuscules, de chiffres et de caractères spéciaux &, , _, etc.. 5Cliquez sur Suivant. Ce bouton bleu est au bas du formulaire, sur la droite. Vous passez ainsi à la suite de l’inscription. 6Tapez votre numéro de téléphone et une adresse de récupération. Cette étape n’est pas obligatoire, mais elle vous serait d’un précieux secours s’il vous arrivait d’oublier votre mot de passe. Dans la barre du haut de la page, tapez votre numéro de téléphone à 10 chiffres et éventuellement une autre adresse électronique de récupération… si vous en avez une. 7Entrez votre date de naissance et le sexe. Servez-vous du menu déroulant pour sélectionner le jour, le mois et l’année de votre naissance. 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Si vous désirez que cela reste confidentiel et limité à Gmail, cliquez sur Ignorer. 12Lisez les règles de confidentialité et les conditions d’utilisation. Ce document explique en détail les données que Google utilise et l’usage qu’il en fait. 13Faites défiler l’écran, puis cliquez sur J’ACCEPTE. Ce bouton bleu se trouve tout en bas des conditions d’utilisation. Comme c’est un contrat, vous devez obligatoirement en accepter les termes. Cette formalité accomplie, vous pouvez alors vous servir de cette adresse pour vos courriels. 1Sur votre navigateur préféré, rendez-vous à cette adresse. Pour créer une adresse Outlook, vous pouvez utiliser un ordinateur, un ordiphone ou une tablette. L’ancêtre d’Outlook n’est rien d’autre que le célèbre, mais désormais vénérable, Hotmail. 2Cliquez ou appuyez sur Créer gratuitement un compte. C’est un grand bouton bleu sur la partie gauche de la page d’accueil d’ 3 Entrez un nom d’utilisateur, puis cliquez sur Suivant. Sous le nom et le prénom, à la place de Nouvel e-mail, tapez votre nom d’utilisateur. Ainsi apparait votre nouvelle adresse électronique Outlook par exemple, rilke Cliquez sur le bouton bleu Suivant pour poursuivre. Si vous préférez avoir une adresse en [nom_d_utilisateur] cliquez sur la liste déroulante à la droite du champ, puis sélectionnez Si ce nom d’utilisateur est déjà utilisé par un autre, il vous sera proposé un autre nom d’utilisateur proche dans sa composition. 4Créez un mot de passe. Dans le champ Créer un mot de passe, tapez le mot de passe que vous voulez. 5Tapez votre prénom et votre nom. Dans la fenêtre Ajouter des détails, tapez votre prénom et votre nom, puis cliquez sur Suivant. 6Sélectionnez le pays de résidence. Pour cela, servez-vous du menu déroulant pour sélectionner le pays où vous résidez habituellement. 7Sélectionnez votre date de naissance, puis cliquez sur Suivant. La sélection de trois informations jour, mois, année de naissance se fait à l’aide de menus déroulants. Après vérification du bon affichage de votre naissance et pour pouvoir poursuivre, cliquez simplement sur le bouton bleu Suivant. 8 Tapez les lettres que vous voyez à l’écran. Cliquez ensuite sur Suivant. Même si ce n’est pas toujours très lisible, reproduisez à l’identique dans le champ qui se trouve à côté les caractères qui se trouvent sur l’image de contrôle. Ainsi, le site sait que vous n’êtes pas un robot. Si vous avez mis les bonnes lettres, vous vous retrouvez sur la boite de réception de votre messagerie Outlook. Si vous n’arrivez pas à déchiffrer les lettres du contrôle, cliquez sur Nouveau et une nouvelle image plus lisible peut-être apparaitra. Sinon, en cas de vision défectueuse, vous avez une identification auditive possible en cliquant sur Audio. 9 Paramétrez votre compte. Voilà ! Vous avez votre compte, mais il est minimal, vous pouvez le paramétrer à votre main. Le paramétrage est différent selon que vous êtes sur un ordinateur, un ordiphone ou une tablette. Sur un ordiphone ou une tablette, téléchargez l’application Outlook depuis l’App Store iPhone/iPad ou Google Play Android. Le téléchargement fait, suivez les instructions qui s’affichent afin de vous connecter au nouveau compte et configurer selon vos besoins et désirs la boite de réception. Sur un ordinateur, cliquez sur le bouton C’EST PARTI !. Le paramétrage se fait en six étapes de 1/6 à 6/6. La première est la personnalisation du thème, puis d’une signature… Une fois le paramétrage mis en place, vous êtes prêt à envoyer et recevoir des centaines de courriels depuis ou sur votre messagerie Outlook. Même si vous pouvez revenir sur ces réglages, soyez attentif ! 1Sur votre navigateur préféré, rendez-vous à cette adresse. Yahoo! Mail est un service de messagerie gratuit géré par Yahoo, le bien connu moteur de recherche. La création d’un compte Yahoo! Mail peut se faire indifféremment sur un ordinateur, un ordiphone ou une tablette. 2Tapez vos nom et prénom dans les champs appropriés. Le nom est tapé dans le champ Nom, tandis que le prénom l’est dans le champ Prénom. 3 Entrez un nom d’utilisateur unique. Sous le nom et le prénom, vous avez un champ qui vous permet de taper un nom d’utilisateur adossé à votre adresse électronique. Celle-ci sera de la forme votre_nom_d_utilisateur Si vous tapez MartinJean, votre adresse électronique Yahoo! serait MartinJean Si ce nom d’utilisateur est déjà utilisé par un autre, il vous sera proposé un autre nom d’utilisateur proche dans sa composition. 4Créez un mot de passe. Servez-vous du champ Mot de passe pour créer votre mot de passe. Un mot de passe solide contient au moins 8 caractères, composés de lettres, minuscules comme majuscules, de chiffres et de caractères spéciaux &, , etc.. 5 Entrez le numéro de votre ordiphone. Dans le champ Numéro de portable, tapez votre numéro de téléphone à 10 chiffres. C’est une démarche obligatoire pour pouvoir vérifier votre compte. Au besoin, servez-vous de la liste déroulante à gauche du numéro de votre portable pour modifier l’indicatif. 6Entrez votre date de naissance. Servez-vous du menu déroulant pour sélectionner le jour, le mois et l’année de votre naissance. 7Renseignez votre sexe facultatif. Le remplissage est facultatif, mais si vous désirez qu’il apparaisse, tapez-le dans le champ Sexe facultatif. 8Cliquez sur le bouton bleu Continuer. Il est sous le formulaire. 9Cochez la case Captcha, puis cliquez sur Continuer. Cela prouvera que vous n’êtes pas un robot. 10 Cliquez sur Envoyer un SMS. Un code de vérification, contenu dans le SMS, est envoyé sur votre portable. Si vous préférez recevoir ce code au téléphone, oralement donc, cliquez sur M’appeler pour obtenir un code de vérification. 11Entrez le code de vérification indiqué dans le texto. Cliquez ensuite sur Vérifier. Si ce que vous avez tapé est le bon code, votre compte est alors validé et actif. 12Cliquez sur Terminé. Votre compte est créé il ne vous reste plus qu’à finaliser la procédure en cliquant sur ce bouton bleu. Vous êtes alors dirigée sur la boite de réception de votre messagerie. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 484 744 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?

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AGATHE DAHYOT D'APRÈS JABIN BOTSFROD / THE WASHINGTON POST Pixels Facebook files Publié le 08 novembre 2021 à 05h38 - Mis à jour le 08 novembre 2021 à 13h31 Réservé à nos abonnés PortraitDe Google à Facebook en passant par Pinterest et Yelp Frances Haugen incarne une nouvelle génération de purs produits de la Silicon Valley qui, sensibles aux enjeux éthiques et sociétaux, n’hésitent plus à contester les travers de leurs employeurs. Lorsque, en juin 2019, Frances Haugen pousse pour la première fois les portes du siège de Facebook, elle oscille entre espoir et fierté, impressionnée par la taille des bâtiments, qui font comme une petite ville au milieu de la Silicon Valley. Elle a longtemps hésité, mais a finalement accepté un poste pour travailler sur la désinformation liée à la politique et à la société. Tout est parti de la dérive de l’un de ses amis les plus proches qui s’est, dit-elle, radicalisé » sur Internet. Celui qu’elle considérait comme un petit frère, et qu’elle avait embauché pour l’aider lorsqu’elle était clouée dans un fauteuil roulant par une maladie auto-immune en 2014, s’est éloigné à mesure qu’il s’abîmait dans la désinformation et le complotisme en ligne. A son arrivée chez Facebook, elle est décidée à s’attaquer à ce problème. Je ne souhaite à personne la douleur que j’ai ressentie », a-t-elle déclaré au Wall Street Journal. Deux ans plus tard, Frances Haugen n’a pas résolu le problème de l’intérieur, et a donc changé de stratégie. En faisant fuiter des milliers de documents internes de Facebook au gendarme de la Bourse la Securities and Exchange Commission, SEC, au Congrès américain ainsi qu’à des journalistes dans le monde entier, l’ancienne employée modèle a plongé le réseau social dans la tourmente. L’accusant de ne pas suffisamment contrôler les effets néfastes de ses algorithmes en matière de haine ou de désinformation, elle enchaîne désormais entretiens sur des plateaux de télévision et auditions parlementaires. Après un passage au Parlement britannique et quelques jours en Allemagne, elle devait être entendue, lundi 8 novembre, au Parlement européen, avant de se rendre en France mercredi, à l’Assemblée nationale et au Sénat. Écouter aussi Facebook Files » dans les rouages déréglés de l’entreprise De Google à Facebook, en passant par Pinterest et Yelp, Frances Haugen incarne une nouvelle génération de purs produits de la Silicon Valley qui, travaillés par des enjeux éthiques et sociétaux, n’hésitent plus à contester les travers de leurs employeurs. Les Facebook Files », une plongée dans les rouages de la machine à likes » Les Facebook Files » sont plusieurs centaines de documents internes à Facebook copiés par Frances Haugen, une spécialiste des algorithmes, lorsqu’elle était salariée du réseau social. Ils ont été fournis au régulateur américain et au Congrès, puis transmis par une source parlementaire américaine à plusieurs médias, expurgés des informations personnelles des salariés de Facebook. En Europe, ces médias sont, outre Le Monde, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, les chaînes de télévision WDR et NDR, le Groupe Tamedia, Knack, Berlingske et l’OCCRP. Ils montrent que Facebook consacre davantage de ressources à limiter ses effets néfastes en Occident, au détriment du reste du monde. Ils attestent que ces effets sont connus en interne mais les signaux d’alerte pas toujours pris en compte. Enfin, ils prouvent que les algorithmes de Facebook sont devenus d’une complexité telle qu’ils semblent parfois échapper à leurs propres auteurs. Retrouvez tous nos articles en cliquant ici. Un parcours sans accroc Avant de passer toute sa vie professionnelle en Californie, Frances Haugen est née dans l’Iowa, un Etat agricole du centre des Etats-Unis. Ses deux parents sont des scientifiques à l’université du coin et elle passe une enfance heureuse dans une maison pleine de livres ». Dans un journal local, en 1997, elle explique hésiter entre une carrière de biologiste, d’avocate et même de femme politique ». En 2007, Newsweek » mentionne une employée de 23 ans courtisée par des aspirants à l’investiture démocrate Frances Haugen Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

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